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 { tw } furor divinus (lucy)

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@lucy madsen & novia / décembre 2020
how hard to fall asleep when I miss your majesty.

Aux portes de la bouche de l’enfer, le motel déniché à courte distance du Tartarus. Sans réservation, la chambre est tout juste acquise. Entre ses doigts humides, les mains doucereuses d’une divinité à chérir. Lucy : l’amante devenue régulière. Diablesse au visage de poupon. Veuve noire somptueuse, coupable de la toile tissée sur son centre nerveux depuis les prémices de cette soirée endiablée. Dans les escaliers du troisième étage, les amantes escaladent les dernières marches qui les séparent de la geôle promise. Une escalade donnant l’illusion de s’éterniser sur les assauts répétés des lèvres de Novia, sur celles ô combien exquises de son ondine. Un bras enveloppé contre sa taille, l’autre taquine quelques mèches de ses cheveux exhalées dans son dos. Appuyée contre l’infâme séductrice sur le palier de repos, son souffle minaude contre son oreille. Tu peux pas t’en empêcher ? De m’allumer comme ça ? Hein ? Le bras qui s’accroche un peu plus à la taille. La bouche qui retourne arracher une fougue sur ses lippes à peine délivrées. Crève de désir d’y plonger plus que du verbe et des belles paroles. Surtout après ce que Lucy lui a fait subir dans le repaire préféré des fidèles de l’église de minuit. Les caresses affectueuses partagées. La danse brûlante exécutée sans impudicité. Ses désirs et ses projets pour la nuit : clairement énoncés. Ou c'est moi qui suis seule responsable d’mes désirs coupables, c’est ça ? Les questions rhétoriques glissent contre sa trachée comme une traînée de poudre. La voix cajoleuse pour perturber les sens de Lucy autant qu’elle a pu porter atteinte au feu dans ses reins pendant toute la soirée. Son autre main reprend la sienne, l’attire jusqu’à la fin du périple dans l’antichambre des distractions qu’elle ouvre dans une hâte empressée. La porte qu’elle verrouille derrière-elles avec la même vélocité avant de revenir à l’assaut de la bouche de Lucy - qu’elle pousse sans réelle retenue contre un mur sélectionné au hasard. Les ardeurs incapables de se soustraire de sa violente appétence. Sa bouche sillonne son cou, explore sa peau avec davantage d’exaltation maintenant qu’elles sont seules dans la chambre du motel. Ses iris fâcheusement incapables de se nourrir de la vénusté prétendue de ses yeux, son flair s’enivre des nuances robustes de sa fragrance. Respire son arôme et déclenche toujours plus de fureur dévorante. Les doigts glissent maintenant dans l’ouverture inférieure de son t-shirt quand sa bouche poursuit son itinéraire sur sa peau. Dérobe un accès sous l’armature de son soutien-gorge pour s'immobiliser sur la naissance de sa poitrine qu’elle empoigne doucereusement. Si il n’y a pas tant de choses (finalement) que Novia connaît d’son amante, son corps commence petit à petit à lui devenir familier. Au point de savoir où toucher et où appuyer pour la faire frémir d’un seul touché. [ Au point de plus savoir s’arrêter quand l’exploration voluptueuse a démarré. ] T’es vraiment bien roulée Lulu… qu’elle balance dans un gloussement lascif avant de faire remonter son t-shirt juste au-dessus de son soutif. Sa bouche qui abandonne son cou pour venir tracer quelques sinuosités depuis son nombril jusqu’à sa poitrine voilée. Les mains circulent le long de son dos quand sans crier gare, un coup de pouce fait sauter la fermeture à agrafes de l’excitatrice. Don donné aux filles de Venus que de pouvoir s’en libérer si facilement. De pouvoir offrir avec cette facilité l’objet d’un désir convoité. Son t-shirt relevé et le soutien-gorge dégrafé toujours attaché sur ses épaules sont maintenus contre sa main gauche, quand sa langue se faufile délicatement sur la poitrine offerte, se libérant d’un premier caprice. S’autorise même à faire pénétrer quelques dents sur la pointe stimulée pour faire frémir son amante. Puis sa main lâche le tout quand son visage plonge nouvellement dans son cou jusqu’à remonter jusque sa mâchoire. J’ai pas envie d’te brusquer Lu’… mais y’a rien chez toi que je ne désire pas. Tu m'laisses faire docilement… ou tu préfères prendre les choses en main cette fois ? Un test plus qu’une question pour celle qui semble avoir atteint plus d’une fois l’apogée dans les anecdotes de sa sexualité. La gamine semblant y trouver son compte quand à chaque fois, l’allumeuse cherche ses faveurs dans le repaire de luxure du Tartarus. Alors pourquoi demander ? Peut-être encore une de ses questions rhétoriques quand elle aime prendre les choses en main. Quand elle laisse rarement la place à la domination et qu’elle aspire à ’avoir le contrôle sur ses partenaires. Quand elle préfère régir comme une reine plutôt que de servir comme un jouet. Mais peut-être qu'elle est curieuse aussi, d'savoir ce qu'elle pourrait bien répondre à ça la petite Lucy.

(c) mars.

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novia & lucy / décembre 2020
oh oh, it's a passion, you can feel it in the air, oh oh it's a passion. you can put some joy up on my face, oh, sunshine in an empty place, take me too, turn to and, babe, i'll make you stay ( @novia-shmi laveau )

Les marches qui s'enchainent, les flammes qui s'embrasent. Pas celles qui sortent de son briquet, pas celle qui a brillé plus tôt au bout d'une cigarette sur le chemin du motel. Pas de celles qui ramèneront Bobby à la vie le temps de quelques secondes pour la hanter. Rien de ces feux-là ; juste de ceux qui peuvent consumer le creux de ses reins. Qu'elle enfonce son regard sauvage trop clair dans les iris trop sombres, plaquée à même le mur, à venir la garder contre elle dans une possessivité méritée après une soirée passée à l'attiser. Toujours la même rengaine. Toujours la même tentation, comme une obsession malsaine dès qu'elle se retrouve dans la même pièce ombrée qu'elle. Passe une langue perfide sur sa lèvre inférieure, la gamine. « Jamais, » qu'elle lâche contre sa bouche, qui retrouve sa jumelle du soir dans un baiser sulfureux. Les mains qui se crispent sur le tissu la recouvrant, objet de tous vices, à se dire qu'elle a bien d'la chance, Lucy, d'avoir tapé dans l'oeil de Novia, y a des mois déjà. Enfonce son regard dans l'sien mais ne répond pas, Lucy, bien tentée d'lui faire croire que c'est de sa faute à elle, oui. La porte qui s'ouvre, se referme, les enferme là dans une pièce qu'elle ne détaille même pas, parce qu'elle s'en fout, qu'ça pourrait bien être une cave décrépite qu'ça n'aurait aucune importance à cet instant-là, qu'tout ce qu'il compte, c'est d'assouvir ses désirs. On l'a pas souvent vue pantin de la sorte, la gamine de la rue, plaquée contre le mur de nouveau, à y incarcérer ses omoplates, le souffle qui se heurte au passage des lèvres sur sa gorge. À passer ses mains dans les cheveux abyssaux pour les enrouler entre ses doigts, comme pour y appuyer plus encore le contact de son visage contre son corps, à ne pas se retenir de tressaillir à ses mains qui se font plus vagabondes. À se cambrer pour affermir encore le contact, la lèvre inférieure qui se mordille, la tête qui se rejette en arrière contre le béton pour fixer le plafond. « Tu n'peux pas y résister, hein ? » qu'ça se souffle en poumons déjà contrits sous les assauts d'un plaisir qui s'impose toujours plus en ligne de maître. Tu peux pas me résister, à moi, qu'ça semble vouloir dire, désireuse d'affirmer sa position, à n'pas rester sur le banc de touche. L'armature qui se détend, qu'elle rebaisse les yeux vers elle pour la regarder faire. Pour mieux la sentir, mieux s'en délecter.

Et sûrement qu'la provocation sonne à ses oreilles comme une insulte, presque, qu'elle attrape son visage entre ses mains, à l'attirer au sien pour que ses lèvres puissent à son tour détailler le contour de sa mâchoire. Que ses dents s'invitent à l'exploration, crissant contre l'os qui la dessine. « J'ai déjà été docile ? » qu'elle s'enquit, quand ça ressemble presque à une question piège, qu'l'affirmative pourrait carrément la faire changer de ton. Parce qu'Lucy ne s'est jamais vue comme telle. Qu'elle ne le sera jamais. Sauvage, indomptable, imprévisible. Personne ne mettra totalement la main sur elle, elle se l'est promis. « J'ai pas envie d'attendre, ce soir, » qu'elle souffle à même sa peau en la repoussant d'une main contre son ventre. Le regard ténébreux malgré la clarté de ses prunelles devenues électriques, qu'elle fait passer son t-shirt par-dessus sa tête, les cheveux retombant de part et d'autres de son visage taquin. À faire glisser le soutien-gorge le long de ses épaules, s'échouer au sol, l'écarter d'un pied. Détache ses épaules du mur pour revenir contre Novia, une main posée au creux de son dos. Bien décidée à lui montrer. Qu'elle n'sera jamais docile. Jamais.

La repousse de son corps contre le sien, ses lèvres revenues trouver leurs pairs, à les mordiller autant qu'à les embrasser avec une ardeur qui ne se cache plus. N'en sont plus à ça. La pièce trop étroite, sans doute que ça l'arrange bien qu'elle bute déjà contre le bord du lit au bout de seulement quelques pas, qu'elle la repousse presque violemment pour l'y voir tombée en arrière. Sans attendre une seule seconde, qu'elle grimpe sur elle à califourchon, à attraper les pans de son haut avec empressement. Y glisser ses mains en-dessous, à vouloir harponner son regard du sien sans vraiment le trouver plus de quelques secondes toujours, sans s'demander pourquoi, parce qu'elle s'en fiche bien, Lucy, d'la connaître au-delà de son corps qu'elle a apprivoisé aux fils des aventures nocturnes. Et alors qu'elle soulève le t-shirt, pour venir déposer sa bouche près de son diaphragme, qu'y a un sursaut qui la dérange. Et ça lui part de l'épaule, remontant le long de son bras jusqu'à sa main qui se serre autour de la hanche qu'elle a empoignée. Qu'elle fronce les sourcils une demi-seconde, titillée, interpellée. Est-ce qu'elle se serait plantée dans ses calculs ? La date entourée d'une croix rouge sur l'frigo de son studio, c'est demain, ou après-demain, elle sait plus vraiment. Et si elle n'avait pas vu les jours passer ? Non, peut pas s'planter, Lucy, pas avec ça. La cage du chenil qu'elle garde chez elle, juste pour ça. L'numéro de Creed prêt à être composé si la terreur est trop forte et qu'y a bien qu'à lui qu'elle peut l'avouer. Bien qu'il faudrait qu'elle cesse de se venger sur lui quand ça la prend. Non, sûrement qu'elle est trop excitée, qu'c'est que le plaisir qui fait tendre ses muscles de la sorte. N'jette même pas un coup d'oeil au travers du rideau opaque de la fenêtre, parce qu'elle n'peut pas s'planter. Et qu'elle n'peut réellement pas gâcher c'moment-là qu'elle a attendu toute la soirée. Réaffirme les dessins brûlants de ses lippes contre son derme, à y tracer des sillons incandescents pour mordiller la peau de son ventre, les mains qui se serrent sur la couture de son bas.

Sûrement qu'elle l'ouvre un peu brusquement. Qu'ça passera pour de la hâte, de l'impatience grisante, quand elle sent presque les coutures lui résister, qu'elle a envie de les déchirer avec ses dents. L'envie qui s'impose, aussi, de les utiliser sur sa peau, plus fortement qu'pour un mordillement sensuel. Et qu'elle ignore les signaux, Lucy, l'alcool diffus dans son sang suffisamment présent pour embrumer son esprit. Parce qu'elle peut pas s'planter, elle peut pas échouer. N'est-ce pas ?
Alors, sans doute qu'ça passera pour ça. Pour de l'envie sauvage de rencontrer son corps du sien, quand elle la débarrasse de son bas en tirant trop fort dessus, que ses muscles se contractent et qu'peu à peu, son esprit s'ankylose. À revenir sur elle, plaquer sa poitrine contre son ventre, les dents qui viennent s'agripper à sa peau. Relève les yeux une seconde, un frisson qui lui raidit la nuque. « Et si c'est toi, cette-fois, qui allait se révéler docile ? » qu'elle souffle en grimpant sur elle, son jeans encore enfilé quand son bassin vient encadrer le sien et s'y presser avec impulsion, à attraper ses poignets pour les remonter au-dessus de sa tête pour l'immobiliser, soupirant à même ses lèvres qu'elle revient prendre en otage. Sans doute que sa bouche se fait plus empreinte d'animosité, quand ses dents viennent mordre sa langue avant de l'en délivrer, qu'on devrait pouvoir voir les prunelles qui s'obscurcissent si elle daignait bien ouvrir les yeux. Et la colère, sournoise, qui s'infiltre dans ses veines comme une épidémie, sans qu'elle ne puisse la déceler, fidèle espionne, cruelle alliée.

(c) mars, icons strangehell

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