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 (Darren) Turner et Hootch

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(Darren) Turner et Hootch
Mar 2 Mar - 15:44

Au poste à l’heure, pour une journée qu’il estimait calme. Aucun meutre étrange à ce jour, il espérait simplement travailler sur les affaires qu’il avait court, l’esprit plus ou moins tranquille depuis que la mort de Kappa était passée. Gardant l’esprit le plus apaisé possible et ses démons aussi loin que possible, il commençait la semaine l’esprit léger. Les retrouvailles avec Arthur lui avait laissé un goût amer dans la bouche, l’aurait voulu le voir dans d'autres conditions, pourtant, destin ou karma, c’était devant la tombe de Kappa qu’il s’était enfin ouvert à lui. Mais ne désirant pas gâcher sa journée trop vite, il chassa le souvenir à l’aide d’un café bien noir, gagnant son bureau, se penchant sur les dernières affaires en cours. Des meurtres du plus sordides au plus passionnels. Cette ville était une sorte de guide de comment tuer quelqu’un, de cas d’école, du plus bizarre en passant par les parents qui tuent pour un oui un non. La concentration de crimes était exponentielle. En même temps, il suffisait de voir ce qu’il y vivait. Les monstres n’auront jamais été aussi réels qu’ici. Et les chasses aux sorcières prenaient tout leur sens. L’en avait vu assez pour croire au plus étrange des témoignages. L’était presque sûr que le poste grouillait de non-humains, à l’instar de la ville.

Devant son bureau, qui ressemblait plus à une pile d'affaires non résolues. Un rapide échanges avec les collègues pour comprendre que certaines affaires étaient des cas perdu. Au même tire de sa journée qui s’annonçait tranquille, quand un simple mémo lui annonça un nouvelle, loin de faire le rire. Relisant les quelques phrases du mail, il leva les yeux de son écran, commençant à insulter ce qui semblait être le maire de la ville. Finalement un meurtre semblait de meilleur augure que le gugus qu’on venait de lui coller aux basques. Les poings serrés, il serait volontiers aller ouvrir sa gueule dans le bureau d’Asta mais un rapide coup d’oeil dans la porte vitrée lui apprit rapidement qu’il n’était pas là. Son regard s’arrêta sur un visage familier, un pub de dentifrices ? Ou un trucs du genre. Il l’avait sûrement vu dans ce genre de choses. Plus adroit pour retenir les détails d’un crime que les visages qu’il voyait à la télé ou peut-être sur un 4x3. Il s’approcha, se disant que s’il repartait sans que… Il regarda à nouveau le mémo, Darren ne le voit, il pourrait simplement travailler sans avoir à se le farcir des heures.

Mais ça semblait peine perdue. Il se tenait entre la sortie et son bureau dans l'open space. Faisant deuil de sa journée tranquille, il prit les devant, marchant droit sur le gamin qu’il aurait à baby-sitter les prochains mois. Il le toisa, le regard froid, à la recherche de ses mots. Cherchant à lui faire comprendre qu’il n’était ni nounou, et qu’il ne travaillait pas avec quelqu’un. “ Darren c’est ça ?” Pause. “Alors qu’on soit clair. T’es pas un cadeau. Je travail seul et, j’ai clairement pas le temps de faire la nounou dan cette putain de ville. Alors tu vas gentiment retourner de là ou tu viens, dire à je ne sais pas qui de te trouver une autre nounou son regard se tourna vers ses collègues. c’est pas ce qui manque ici, mais j’ai d’autre chat à fouetter que de m’occuper de ton cul.”

Au moins c’était clair. Il n’avait aucune envie de s’occuper de lui. N’avait pas le temps pour ça. “Bonne journée et espérant ne pas te revoir ici.”


Il lui tourna les talon, retournant à son bureau, commençant à éplucher les derniers dossiers, espérant qu’il ne soit pas trop con et comprenne vite le massage. La nez dans son dossier, il s’employer à ne pas le regarder. Ne lui accordant aucune importance, comme les gamins, il allait bien se lasser. Il l’espérait.

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Il avait pas cru sa « chance », quand on lui avait dit que c’était bon. Au fond, cette chance, il l’avait poussée, de son influence, de sa notoriété. Les portes, on les lui avait pas ouvertes – il les avait littéralement défoncées. Et il savait, l’acteur, qu’il n’était considéré par le département de police d’Exeter que comme une possible bonne publicité fortement nécessaire. Et il avait l’habitude qu’on se serve de lui, Darren – au moins, cette fois-ci, c’était aussi dans ses intérêts. Alors on lui explique qu’en dehors de certains cas et de diverses exceptions, il serait le consultant des affaires de Nick Ferrell. Pour l’encadrer, qu’on lui dit. Il s’en fiche, Darren, sur le fond, tant qu’il est accepté.
Il a jamais été un grand ami de la ponctualité, plutôt le genre à se pointer une heure en retard – mais pour une fois, il fait un effort, et pousse les portes du commissariat avec ses lunettes de soleil sur le nez, et sa dégaine de tout-sauf-flic. Il fait un peu tâche dans l’environnement, paraît furieusement soigné pour l’endroit où pullule la pourriture humaine. Il est de ces gens qu’on ne voit jamais dans un tel endroit, à part en cas de force majeure ou de crime à reporter. Et pourtant, il est là, et il demande Nick à l’accueille. La secrétaire le regarde avec un air un peu inquiet, toutefois un petit sourire amusé sur les lèvres – et comme il est pas con, Darren, il devine bien vite qu’il va ramer et que le fameux Nick Ferell devait être une force de nature à lui tout seul.

On lui a pas vraiment dit à quoi ressemblait l’enquêteur. En soi, Darren, il a pas demandé, gros touriste qu’il est dans chaque aspect de sa vie, mais c’est pas dur de le repérer. Un type debout, regardant un mémo avec un air de fureur, une moue grognon sur les lèvres, qui lui lance un regard assassin, et Darren, il retient un rire. Il lui rend son regard, un sourire en coin sur les lèvres, peut-être un peu trop joueur dans le contexte – et peut-être que ça ne fait rien d’autre qu’accentuer la rage du barbu grognon, qui s’approche déjà de lui d’un pas raide et lourd. Quand il beugle qu’il veut pas être sa nounou, Darren doit se retenir de toute ses forces pour pas laisser échapper un rire. Nick, il lui fait un peu penser à un petit chihuahua en colère et solitaire. C’en est presque mignon et adorable. Toutefois, bon acteur et bon pour contrôler ses acerbes émotions, il ne fait que sourire poliment, quoiqu’un tantinet amusé de la situation. « Darren Atkins, oui. » Il est positivement surpris que le type le reconnaisse pas – c’est encore mieux. « Faut pas être si grognon, j’suis pas là pour t’emmerder. Je suis même plutôt là pour t’aider. Et personne t’a demandé d’être ma nounou, mais si c’est comme ça que tu veux te définir, soit. » Il lui fait un clin d’œil, et ignorant royalement les autres arguments de Nick, il le suit à son bureau, et s’installe sur la chaise à côté. Darren, il a un grand sourire sur le visage. Limite, il s’éclate. « Alors, Super Nanny, sur quel dossier on travaille ? » Et il prend l’un des dossiers sur la pile – un cas d’agression, et il sait bien que Nick va râler encore un temps, alors c’est avec une petite lueur provocatrice dans les yeux qu’il attend les éclairs de Zeus à deux doigts de foudroyer sa tête.

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Il avait d'autres chats à fouetter. Le visage de l’homme lui était effectivement familier. Pourquoi ? Comment ? Il s’en foutait. Il retenait rarement les visages qui ne lui apportaient rien de toute façon. Il aurait très bien pu l’avoir croisé dans la rue, au dans une pub quelconque. Il s’en foutait, il ne servait tout bonnement à rien dans ses enquêtes en cours. Qui s’empile jour après jour. Comment une si petite ville pouvait souffrir d’autant de criminalité. Tous les jours il se posait la même question, sans en avoir la réponse. Lisant les dépositions, les mettant sur une pile. Qu’il traiterait un jour. Les classant par crimes ou importances. Avait-elle un lien avec une enquête en cours ? Était-ce une nouvelle disparition qui aurait du être suspecte mais au finale, c’était la sixième ce mois ci, il était parfois presque plus suspect de revenir après 10 ans d’absence que de disparaître.

Il toisa l’homme, toujours avec froideur et détachement. Le voyant plus comme un objet gênant, un poids qu’il n’avait pas demandé. Il ne voulait pas de partenaire, encore moins un assistant gênant et inutile. Encore quelqu’un dont il devrait se soucier alors qu’il avait autre chose à faire. Ne se préoccupant pas déjà assez de sa propre vie. Alors celle de ce Darren lui passait au-dessus de la tête. Il n’avait pas le temps, pas l’envie. Materner ce consultant sorti de nul part n’était pas une priorité, ne le serait jamais. Alor, en lui accordant le moins d’attention possible, toujours, il attendait qu’il parte, qu’il aille voir ailleurs, qu’il aille coller quelqu’un d’autre. Pourquoi pas Nox ? Ou Jaimini ? N’importe qui mais pas lui.

Il parcourait des yeux le dossier qu’il avait dans les mains. Encore une disparition. Ou peut-être un meurtre. Tout menait à croire que la personne n’avait pas disparu, mais plutôt qu’on l’avait faite disparaître. Des témoignages étranges qui ne correspondent pas. Il osa lever les yeux, voyant que l’autre était toujours là. “T’as présence même ici m’emmerde. Et à part me faire chier jusqu’à ce que tu sois plus qu’un dommage collatéral d’une affaire. Dommage.” qu’il lâcha avec dédain. Cherchant juste à s’en débarrasser au plus vite. En vain, semblait-t-il. Il souffla, d’agacement, d’énervement en voyant le dossier s’envoler de ses mains. Voilà que l’animal prend ses aises. Il serra le poing, récupérant son dossier, essayant de garder son calme. “A partir du moment où tu seras dans mes jambes, ou je devrais garder un œil sur toi, je serai ta nounou et devine quoi. C’est pas mon boulot. Je suis flic. Rend moi ce dossier, ça te regarde pas.”

Pourtant, il avait la désagréable impression qu’il allait être là longtemps. Trop longtemps. Qu’il serait plus encombrant qu’une armoire trop lourde. Plus il le regardait, plus il avait envie de le voir disparaître. Il eut un rictus et secoua la tête, espérant le calmer direct. “Y’a pas de Super Nanni qui tienne joli coeur. ni de “On”. Y’a juste toi, qui va prendre tes clics et tes clacs et aller voir ailleurs si j’y suis. Ou alors, il tu veux vraiment te montrer utile et rester ici, y’a toute la section des archives à ranger. Je suis sûr que ça te prendra une éternité et au moins, je verrais plus ta tronche ici. Tu prends l'ascenseur et c’est au sous-sol, tu verras, c’est charmant !”

Il se leva, le poussa doucement vers l’ascenseur tout en gardant son dossier en main. “Et regarde, t’as vu, la sortie est même juste à côté d’ici, je te retient pas tu sais ? Personne t’en voudra de partir !”

Il le laissa là devant l’ascenseur, repartant à son bureau tranquillement, sans se retourner, espérant de tout son cœur que le message était passé. Il n’était pas le bienvenu ici.

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Il était sans doute plus provocateur qu’il le devrait, sourire en coin, l’air arrogant d’l’acteur aux poches pleines sur les traits. C’est pas vraiment qui il est ou ce qu’il aime représenter, mais dans ces murs chargés d’histoire, de haine et de gens grognons – il peut pas s’en empêcher. Faut dire que la détermination de Nick à l’envoyer paître, à afficher cette air renfrogné, agacé et à lui parler comme un moins que rien, ne fait que motiver Darren à jouer les merdeux. Alors il pique, sa voix mielleuse et amusée qui résonne dans le commissariat, sous les regards curieux des autres officiers qui, sans doute, ne lui auraient pas autant cassé de sucre sur le dos. Mais Darren, sa vie est devenue ennuyeuse, paillettes et spotlight comme prison brillante, alors ça l’amuse, cette joute verbale. Nick l’amuse, pour être plus précis. Et soudain, Darren, il le voit comme une challenge, une montagne à franchir, un lion à dompter. « Au moins, ce sera plus glorieux de mourir dans une affaire avec la police que dans mon hôtel comme un con avec des paparazzis en bas du bâtiment. J’suis chaud. » Il fait mine de se planter une dague dans le coeur, et d’crever, tête sur le côté et langue pendante – dramaqueen en puissance. « Tu es flic, et je suis consultant. Donc ton job, c’est aussi de me laisser t’aider. J’crois pas que c’est toi qui décide. » Et il mime, doigt en l’air, la hiérarchie par laquelle il est passé, et contre laquelle Nick, aussi gradé qu’il soit, ne peut rien. « Je pense que la police n’en est pas à refuser un peu d’aide. Et puis, c’est de la bonne publicité pour vous, apparemment. Paraît qu’on vous aime pas beaucoup. Moi, on m’aime bien. Donc bang bang, domino. » Et il est fier de son explication, Darren, rattrapant le dossier au vol, continuant de parcourir les lignes sous ce qu’il savait être le regard rageur de Nick. « Vous avez considéré la possibilité que le voisin qui a vu la scène de sa fenêtre il mente ? » Il pointe une ligne du doigt, comme s’il avait été détective toute sa vie. « Je suis doué pour savoir quand les gens ils mentent. On devrait retourner le voir ensemble. Parce que votre dossier est basé que sur lui, on croirait Jay dans le cas Adnan Syed. » Et il est tout sourire, Darren.
Il rigole presque à la salve virulente de Nick, comme foudre qui s’abat sur lui. Faut dire que l’acteur le cherche un peu. « Je suis consultant, pas ta femme de ménage. Et puis, utilisez des ordinateurs. J’pensais vos salles pleines de papiers sales et mal rangés c’était une légende. »
Le message est pas passé, c’est l’cas de le dire, et il continue de suivre Nick jusqu’à son bureau. « Tu sais que tu peux râler mais au fond, t’as pas le choix. Et tu peux pas non plus me frapper. Coup dur. » Il sourit, Darren, un peu plus doux qu’avant, malgré son ironie.

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Il l'insupporte au plus au point, et justement, son petit sourire là, il a envie de lui faire ravaler, furieusement. Il sert le poing, prend sur lui, tandis qu’il sent tous les regards du poste de police se braquer inexorablement vers eux. Il se mord les joues et tente de se calmer. Loin de lui l’envie d’attirer l’attention de son supérieur. Il souffle une nouvelle fois et le prend par l’épaule pour la faire s'asseoir sur la chaise. Histoire d’éviter de devenir les nouveaux potins de tout le poste. Mais si ça semblait être trop tard maintenant. Puis il le voit bien, qu’l’autre il prend un malin plaisir à le faire chier. Et que Nick, parfois trop stupide pour ne pas franchir la ligne, il fonce tête baissé dans les emmerdes et dans le jeu d’l’autre trop parfait pour ne pas avoir des cadavres dans son placard. Pourtant, il n’a ni le temps ni l’envie d’se le farcir. Les gamins en manque de sensation, ça, se drogue, ça s’taillade les veines, ça fait des choses stupides, mais venir faire chier un flic, ça, ça s’était nouveau.

Si t’es en mal de sensation forte, t’veux pas plutôt faire comme tout le monde et t’enfiler un raille de coke ? qu’il souffle. Pourtant, c’est un peu l'hôpital qui se fout de la charité. Non, il ne cherche pas les sensation forte, clairement pas. D’abord pour oublier, ensuite pour se noyer dans le travail pour oublier. Mais il est clean, pour le moment, il tient la route. Pas d’médaille des narcotiques anonymes. Juste la volonté d’s’en sortir, pourtant il sent qu’ça va devenir de plus en plus compliqué. L'anniversaire de Kappa, la discussion avec Arthur, l’avait légèrement retourné. Avoué, tout, sur comment ils étaient parvenus à s’échapper. C’était sûrement la chose qui l’avait légèrement trainée au bord du gouffre, un peu plus en tout cas.

Il le regarde miner le mort qu’il ferait, ça aura au moins eu l’utilité de le faire rire un peu. Il secoua la tête en soupirant. Pourtant tu ferais un mort magnifique. Très photogénique tu sais ? Tu veux pas essayer ? P’t’être que je pourrais travailler sur ton affaire ? Ses lèvres se tordent pour lui offrir un sourire moqueur avant de simplement soupirer. Il n’avait pas tort sur le fond, il n’avait pas le choix et pire encore, il ne serait jamais consulté pour ce genre de décision. Il pourrait dire non que ce serait la même chose. Il planta un regard dur dans le sien.On n’est pas en droit de refuser ? Vraiment ? T’as des choses à nous reprocher ? Tu t’penses meilleur que les autres enquêteurs ? Tu crois quoi, qu’on s’touche en attendant qu’les crimes se fassent. ? il serre le dosser entre ses doigts, cette putain de ville est juste l’épicentre de la criminalité du pays ! Il se tait. Il n’a pas à se justifier à cet abruti. Cette ville est juste un putain de cercueil, si t’y crèves pas en arrivant tu deviens un monstre, ou alors tu nais avec des dons qu’t’a pas demandé et tu finis témoins des pires atrocités possible.

Puis, septique il lève un sourcil, l’observant de la tête au pied, sans comprendre son allusion. Tout le monde l’aime ? Il est quoi ? Une sorte d’aimant à amour ? Ou juste il se sent plus pisser. Avoir une belle gueule ça fait pas tout. Oh ? Et tu te prends pour qui ? Parce que pour moi t’es juste un autre gamin à la recherche de sensation forte. T'as peut-être une belle gueule, mais j’vois aps en quoi tu pourrais nous faire de la publicité. Il n’a aucune idée de qui il est. Pire que ça, il s’en fout. S’il n’est pas un témoin ou une victime ou le meurtrier de sa pile de dossier, il s’en fou. Il pourrait bien être la reine d’Angleterre, que ça ne l’aiderait pas plus.

Il roule des yeux et lui laisse le dossier, retournant s'asseoir dans son siège. De toute façon, il n’avait pas le choix, autant essayer de le rendre un peu utile. Il croise les bras et l’observe. C’est viscéral, mais il a envie de lui lancer son agrafeuse dans le nez. Cette belle gueule. Il ne la supporte tout simplement pas. Oh, consultant, me voilà sauvé alors ! Merci beaucoup qu’il lui lance, à peine ironique. Oh doué pour savoir si les gens mentent ? Alors tu dois bien te rendre compte que quand je dis que je vais adorer travailler avec toi, c’est totalement sincère ? Il n’était plus à ça près. Entre wendigo, et pouvoir, le poste de police était sûrement le lieux le moins normal de la ville. Mais sûrement qu’l’autre se targuait d’savoir lire dans les gens comme ceux qui passent à la télé en prétendant qu’ils sont médium.

Il attrapa un dossier et se leva pour lui fouetter derrière la tête. Parle pas trop vite, tu serais surpris. Quant au voisin, il n’a rien vu et ça colle plutôt bien avec ce qu’il s’est passé. C’était de nuit.


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