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 the story of the beast with four dirty paws (rhett)

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Valentino Walters
- the beaten and the damned -
Valentino Walters
- the beaten and the damned -
damné(e) le : o02/03/2022
hurlements : o77
pronom(s) : oelle
cartes : ofürelise (ava) ; justice, civilization
bougies soufflées : o31
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the story of the beast with four dirty paws

Le réveil est un peu bizarre ce matin, ou cet après-midi. Un peu flou. Le bleu nuit de ses yeux qui cherche à s’accrocher à ce qu’il connaît. L’anglais d’adoption se frotte le visage avec une délicatesse discutable avant de se redresser de son canapé.

Tiens, il n’est même pas allé jusqu’au lit. Shit. Normalement quand il est dans cet état c’est parce qu’il a trop abusé la veille. Il sait pertinemment qu’aujourd’hui ça n’a rien à voir et ça l’emmerde. Tout ce qui s’est passé la veille l’emmerde. Qu’on ne comprenne pas l’intérêt de ce qu’il fait, qu’on se la joue chevalier blanc et puis… Qu’un mec qu’il voulait contenir dans des jolies petites fioles soit relié, d’une manière ou d’une autre, à son frère.

Tout le fait chier et il se pince le nez comme si ça allait effacer ce qu’il s’est passé. Madame est servie, en gros. Manque de bol, ça rate. C’est vraiment que des conneries la magie de la télévision. Non, la réalité bien merdique reste là, son mal de crâne aussi.

Le chimiste se lève avec difficulté, erre jusqu’à sa cuisine avant de regarder avec une attention toute particulière le cachet effervescent disparaître dans l’eau. Les minutes passent et les souvenirs reviennent de plus en plus clair. La rencontre, le fait de parler sans avoir le choix, le fait de faire les connexions dans ses trois pauvres neurones restants.

Et puis, le dernier souvenir. Celui qui lui fait lâcher des yeux le spectacle magique des bulles dans la flotte. Rhett lui avait envoyé un message, non ? Ses doigts tapotent le coin de la table, il avale le verre d’eau sans applaudir le truc qu’il a passé dix minutes à admirer et il se rend dans le salon. Fouille ses poches de manteau, de veste, de banane, de tout ce qui a des poches et qu’il croit avoir eu sur lui la veille. Pas de téléphone.

Le voilà qui retourne les coussins du canapé pour finir par trouver l’objet convoité dans les plis de ce dernier. Gotcha. Il déverrouille l’écran partiellement fissuré et se met à chercher ses derniers messages. Être sûr qu’il a pas rêvé un truc.

Le message s’affiche et le voilà qui s’assoit pour le relire. Le cadet frotte sa mâchoire avec sa main en lisant et relisant les mots de son frère. Ok il a menti. Ok il a prétendu qu’il était pas là bas mais l’autre lui a pas tellement dit que c’était une question de vie ou de mort non plus ? Sérieux, un sms pour ce qui l’attendait ?

Ni une ni deux, le voilà qui enfile un jogging et une veste. Son maillot de Manchester sur le dos, il traverse les rues d’Exeter comme le faux américain qu’il est devenu. Sans un regard pour le monde, il déambule jusqu’à atteindre son but. La porte de chez son frère.

Il a pas vraiment réfléchi à ce qu’il allait dire, il réfléchit pas tellement avant d’agir la plupart du temps. Mais fallait qu’il agisse. Un putain de sms.

Walters toque à la porte que son aîné ne tarde pas à ouvrir et sans qu’il lui laisse le temps de quoi que ce soit il lance. « You know, if you want me out of here, you can tell me.» Ses doigts frottent le dessous de sa mâchoire quand il ajoute « Seriously, I know we’re not a perfect family but no need to kill me, bro. »

Il passe le pas de la porte, frôlant son frère au passage. Lui a pas tellement demandé s’il pouvait entrer, n’a pas forcément laissé le choix ni le temps de répondre. Il enlève ses pompes, en colère mais pas mal élevé et se dirige vers les pièces de vie en ajoutant « What the fuck were you thinking ? A better update would have been appreciated. »

Se retourne, lui fait face et comme un enfant à nouveau, le merdeux fait une révérence outrancière en ajoutant « And by the way, if your majesty even care, happy to report that I’m, against all odds, alive and well. »






Stand in line as we march to the drums of the east paralyzed and possessed by crusaders deceased lost to the sirens that call from the turbulent tide bound by the science that lives on the lips of the wise the beating of a million drums the fire of a million guns the mother of a million sons civilization


Dernière édition par Valentino Walters le Lun 1 Avr - 16:00, édité 1 fois
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Rhett Walters
- from chagrin to folie meurtrière -
Rhett Walters
- from chagrin to folie meurtrière -
damné(e) le : o26/11/2023
hurlements : o379
pronom(s) : oshe/her.
cartes : o(av/cs) fürelise (gif) overgrons (lyrics) brel.
bougies soufflées : o48
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-- the story of the beast with four dirty paws
ft. @valentino walters
    La porte s'était refermée derrière Bobby depuis presque une heure déjà. Les deux amants ne s'étaient pas pressés pour débuter la journée, l'un toujours volontaire pour réduire la motivation de l'autre à néant ; chacun ravi de trouver des prétextes pour s'attarder, ne se désolidariser qu'une fois le délai inévitable arrivé à son terme. Rhett avait un rendez-vous le soir et Bobby avait également des obligations ; heureusement, sans quoi les deux hommes n'auraient montré aucun courage. La chambre montrait des preuves de chahut évidentes, tout comme le salon qu'il devait s'empresser de ranger avant que Sofia ne lui tombe dessus pour lui signifier qu'il était irresponsable. Lorsqu'elle prononçait ce mot, il voyait dans son regard poindre une lueur de contentement, bientôt de la fierté à l'idée que son père redevienne un adolescent durant quelques heures. Elle qui l'avait tant sermonné dans ses moments d'errance, alors que June était partie depuis des années déjà. L'idée de retrouver le père malicieux et plein de vie qu'elle avait perdu quelque temps contrastait certainement avec son agacement lorsqu'elle devait s'occuper de ses frères par sa faute.

    La chambre attendrait son retour, le soir. En revenant de sa consultation, il aurait tout le loisir de remettre les draps en ordre, retrouver les quelques vêtements abandonnés autour du lit et faire en sorte que les lieux soient enfin accueillants, bien qu'il soit y seul à y entrer en règle générale. À l'inverse, le salon devait être sa priorité ; ses enfants ne devaient pas rentrer avant qu'il n'ait terminé de tout remettre en ordre. Sofia avait déjà croisé l'homme d'entretien la veille et Rhett s'était promis de faire plus attention à l'avenir, bien qu'il n'ait – en vérité – rien fait de réprimandable. Il ne connaissait pas l'emploi du temps de ses enfants, n'avait aucune idée de l'heure à laquelle ils rentreraient, souhaitait donc faire le ménage le plus rapidement possible avant de leur préparer quelque chose pour le goûter.
    Il n'était pas encore passé par la salle de bains, avait seulement enfilé son jean et un t-shirt, histoire de ne pas se promener nu dans la maison. Il prendrait le temps de s'apprêter ensuite, avant de prendre le chemin de son bureau. La démarche trainante, il attrapait les bières vides pour les laisser tomber dans la grande poubelle, ignorait le bruit sec que faisaient les éclats de verre en se brisant, puis passait à la suivante.

    Il était sur le point de s'attaquer au canapé quand on frappa à la porte. Il jeta un regard circonspect en direction de la lampe toujours au sol, du sofa de travers et de tout ce qui montrait combien la nuit avait été agitée, puis alla finalement ouvrir au cas où il s'agisse d'une urgence ; un des gosses pouvait avoir un problème. Il passa la tête par la porte et fut forcé de l'ouvrir en grand pour que son frère puisse s'engouffrer dans la brèche. Il n'eut pas le temps de le saluer, Valentino était déjà dans son antre. What the fuck were you thinking ? Il avait à peine entendu les paroles de son frère qui avaient précédé cette question rhétorique. Les sourcils froncés, il ouvrit la bouche, mais fut pris de court alors que son frère prenait de nouveau la parole.
    Alors le problème était là ? Dans cette situation désespérée que Rhett avait guérie à coup de bière, de tendresse et de sexe ? Le psychiatre se passa une main sur le visage en soupirant. Enoch était donc passé le voir, s'il mettait les pièces du puzzle dans le bon ordre. Ce que Rhett voyait, en analysant son frère dans son espace, c'était qu'il allait bien ; en l'état, c'était tout ce qui comptait pour lui. « — I see Enoch paid you a visit? » Il s'était demandé pourquoi il n'avait pas eu de nouvelle de son ancien beau-frère, connaissait assez ce dernier pour savoir qu'il n'abandonnait jamais dans ce genre de cas. Il tenait assez à son petit ami pour retourner la ville afin de le retrouver. « — What did you tell him? »

    Il claqua la porte d'un geste leste du bras, sans colère, seulement blasé à l'idée que cette histoire lui retombe dessus alors qu'il n'était au courant de rien d'important ; sinon, Enoch se serait plutôt tourné vers lui. Il s'avança vers le frigo et attrapa deux bières fraîches pour brandir comme un drapeau blanc entre eux. « — If you weren’t in the lab, you wouldn’t risk anything! If I had known you were there, I would have been more specific! » Il tendit une des bouteilles vers Valentino en haussant les épaules, persuadé d'être dans son bon droit. Et quoi que puisse en penser son frère, il s'était inquiété pour lui, avait prévu de retourner la ville pour empêcher Enoch de l'atteindre. « — Why did you lie to me? » Il s'avança dans son coin salon et bougea légèrement le canapé afin de l'aligner devant la télé, la seconde bière toujours à la main. « — Sorry for the mess, I was cleaning up. »




est-ce d'avoir trop ri,
que leurs voix se lézardent
quand ils parlent d'hier ?
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Valentino Walters
- the beaten and the damned -
Valentino Walters
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Les codes sociaux. Ces codes que l’on nous apprend dès notre tendre enfance. Ceux qui sont porteurs de notre comportement, en société, avec la famille, porteurs de tout. Ces codes qu’il ne faut surtout pas briser sous peine d’être considéré hors norme. Valentino n’a pas vraiment eu la chance d’avoir ses codes-là. Aucun.

S’il a trouvé son équilibre dans une norme décalé professionnellement ou même personnellement, on ne peut pas en dire la même pour la famille. Aucun repère, loin d’eux. L’exilé qui n’avait pas sa place, toujours en trop. Walters ne savait pas ce qu’il fallait faire ou attendre de la famille. Sa relation avec son aîné avait beau être solide, palpable et réelle depuis toujours, elle n’était pas pour autant normale. Ils n’avaient jamais vraiment eu l’occasion de créer ce lien que l’on peut espérer entre deux frères.

C’était trop tard pour revenir en arrière. Désormais il faut faire avec.

Valentino pensait d’ailleurs qu’ils avaient trouvé un certain équilibre ensemble. Une manière à part mais sincère de montrer qu’ils avaient ce fameux lien du sang. Enfin, il le pensait avant cette nuit. Boulet de canon sans trop savoir pourquoi, il débarque chez son frère pour chercher des explications.

Rien de rationnel, d’ailleurs, il ne sait même pas les réponses qu’il attend. Peut-être qu’il n’attend rien, que tout ça c’est sa manière de dire à Rhett qu’il a tout de même un peu flippé et que ça l’emmerde. Sauf qu’il ne l’admettra jamais. Alors au lieu de ça il fait un cinéma, outré.

Rhett de son côté réagit très calmement. Il ne lui faut pas une phrase pour comprendre qui avait rendu visite à son cadet. Et ça, Valentino ça le fout un peu plus sur les nerfs. D’ailleurs il s’apprête à en rajouter une couche quand son frère lui demande « — What did you tell him? » le regard de l’anglais d’adoption perd tout son jeu d’acteur pour laisser une surprise sincère le traverser. Pardon ?

La remarque le laisse sans voix alors que la porte se referme derrière eux. Et puis voilà qu’il en rajoute une couche. Lui balance que globalement c’est de sa faute, qu’il a menti. Le cadet attrape la bouteille sans un mot, trop sonné pour répondre et en boit une gorgée alors que son frère change de sujet comme si de rien n’était.

Le regard s’éparpille sur le salon dont il parle et Valentino lance, avec un sourire qui donne envie de le baffer « Oh, I see. » Il avale une nouvelle gorgée et cette fois, plus calme, il reprend « I lied to you because I didn’t think you had murderous friends. I thought you were just doing what you always do, aka the i’m the cool big brother and I care thing. Oh boy was I wrong, my bad, bro. »

Il lève une main pour montrer patte blanche en avalant une autre gorgée et lance en donnant un coup de menton vers le salon. « He came here too or you just decided to redecorate like an hyperactif smurf ? »

Il n’a pas répondu à la question. La fameuse, what did you tell him. L’envie profonde de lui demander ce que ça peut lui foutre a mis plusieurs minutes à lui passer et alors qu’il soupire il ajoute, posant la bière sur le meuble derrière lui tout en s’appuyant contre. « I don’t remember what I told him. That son of a bitch used fucking magic tricks on me. Maybe I told him you were the big bad wolf. » Il hausse les épaules et reprend, volontairement « What was he looking for, exactly ? »







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Rhett Walters
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ft. @valentino walters
    Il ne comprenait pas exactement ce qu'il avait fait de mal aux yeux de son frère. Est-ce qu'il aurait dû abandonner sa soirée de Saint-Valentin pour vérifier que Valentino était bien sagement dans son lit, et pas en train de bosser sur des prélèvements ? Il l'aurait fait s'il avait su où il se trouvait ; mais il ne pouvait pas savoir qu'il lui mentirait. À quoi bon ? Rhett n'était pas son père, Valentino pouvait bien faire e qu'il voulait et il n'avait rien à en dire, alors pourquoi ne pas lui avoir dit la vérité ? Il lui aurait dit de se méfier, de quitter les lieux et rentrer chez lui ; peut-être lui aurait-il également dressé un portrait d'Enoch afin de lui dire de l'éviter s'il venait à le croiser. Il ne pouvait pas être blâmé pour ne pas avoir anticipé le mensonge, pas alors qu'il aurait fait tout son possible pour le protéger de son ancien beau-frère. Il ne lui en voulait pas, sûrement qu'il devait avoir ses raisons, mais il refusait d'en faire les frais.
    Il pouvait prendre part à la joute, mais n'aurait pas la force de s'énerver. L'image du gentil grand frère n'était pas fabriquée de toute pièce, il se souciait réellement de Val, mais cela ne signifiait pas qu'il devait montrer patte blanche pour chaque erreur autour de lui. Le deux mains autour du canapé, il avait abandonné sa bière sur la table près du meuble pour être plus efficace. Il avait encore des choses à faire et pouvait bien s'activer en discutant avec lui.

    I lied to you because I didn’t think you had murderous friends.

    Il lâcha le canapé, les sourcils froncés, et regarda son invité en le questionnant du regard. Il ne comprenait pas où il voulait en venir, pour tellement de raisons. Son état ne montrait rien d'inquiétant, et il connaissait assez Enoch pour savoir qu'il n'y serait pas allé avec le dos de la cuillère s'il avait fait preuve de violences physiques ; il avait l'air d'aller bien, de ne rien avoir subi de tel. Il pouvait également le mettre face à l'ironie de la situation, à en juger par ses fréquentations à lui. Rhett n'avait pas choisi son beau-frère, et savait que les personnes qui gravitaient autour de Val n'étaient pas des enfants de chœurs. Il n'avait pas beaucoup d'informations concernant ce qu'ils faisaient dans cette organisation qu'il aidait contre quelques fioles, mais il savait qu'ils ne faisaient pas que discuter avec les individus qu'il désignait comme cupidon. Il avait le culot de venir lui balancer des conneries pareilles, sans balayer devant sa porte ? « — I forgot that you only interact with holy people. » Il était rarement piquant concernant son petit frère, peut-être parce qu'il ressentait toujours le besoin d'être là pour lui, de compenser le manque d'affection de ses parents ou simplement par envie de créer des liens fraternels plus solides. « — I simply wanted to let you aware that I was worried about you, ok? I didn't imagine I'd have to put a GPS on you to figure out precisely where you were. » Il attrapa sa bière et en but quelques gorgées en le regardant, un sourcil arqué en se retenant de lui lancer à quel point il agissait comme un con.

    Il releva la lampe en faisant comme si c'était normal qu'elle soit par terre, et jeta un regard circulaire autour d'eux, réalisant que le décor pouvait faire penser à une bagarre. Il secoua la tête pour montrer qu'il ne s'agissait pas de ce genre de violence et reprit la parole en essayant de paraître moins acide. « — I had a Valentine's Day guest, and we were a little heckled. » Aucune honte à cela, il n'y avait bien qu'à Vince qu'il cacherait les dégâts pour éviter les questions que Sofia avaient déjà posées. Mike était trop jeune pour s'en préoccuper, il se demanderait seulement si d'autres personnes devaient entrer dans sa vie. « — Enoch didn’t tell you? » Pas étonnant, il n'avait certainement pas de temps à perdre en paroles alors que le temps était compté pour Saul ; mais de ce qu'en savait le psychiatre, ce dernier ne craignait rien, ils ne feraient que lui prélever du sang et le relâcher dans la voiture, non ? « — He’s looking for his boyfriend; apparently he’s missing and Enoch thinks your friends took him. You understand why he's ... unhappy. »




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