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 it's all worth living for - (barbie & devlin)

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stay for every memory we'll embellish around the dinner table, until it becomes legend


Les abandons en récidive ont laissé leurs traces au fond de l'infirmier, larges déchirures qui n'ont de cesse de suinter. Les uns après les autres comme des couteaux aiguisés dans ses chairs, à fendre la peau et les côtes pour atteindre le cœur. Môme fragile, depuis le premier départ, la brèche originelle, causée d'une main de mère dont il se souvient à peine, mais dont il a, toujours, porté la culpabilité insidieuse. Famille heureuse en inconnue éternelle, il n'y a jamais eu que des fantômes, dans les couloirs et les chambres de la maison Dunham, à part les deux mômes qui y vivaient, souvent ensemble, mais toujours seuls. Bien vivant, pourtant, le père, spectral malgré tout, aux apparitions rares, et aux mots plus encore. Dans les polaroïds de ses souvenirs, les seuls sourires sont ceux que lui et Barbie s'offraient en permanence. Les deux âmes jumelles, enfants de l'adversité, qui se sont bâtis l'un l'autre sur des terres gelées. Jusqu'à son départ, involontaire, troisième fissure au crépi de l'âme, et sans aucun doute la plus large. Celle qui, aujourd'hui encore, alors qu'ils se sont retrouvés contre l'espoir, fait le plus mal. Mais sa récente conversation avec Barbie, bien que difficile, a apporté une large dose de soulagement aux inquiétudes qu'il n'avait pas su faire taire seul. Celles de le perdre à nouveau, de le voir disparaître et, surtout, ne pas revenir. Caleb s'est également ajouté à la liste trop longue de ceux qui l'ont laissé derrière, et si par deux fois les absents sont revenus, les abîmes qu'ils ont laissé à son être n'ont pas su s'effacer à leurs retours. Parce qu'il en est persuadé, Silas, le prochain départ finira de le briser. C'est donc dans un désir toujours grandissant de s'entourer de ceux qu'il aime, qu'il a spontanément décidé d'inviter les jeunes mariés pour la soirée. Il se veut entouré, Silas, non seulement pour combattre la solitude corrosive qui le ronge en bain d'acide dès que les portes se referment sur des silhouettes qu'il s'inquiète de ne jamais voir revenir, mais aussi pour tapisser ses souvenirs d'instants de bonheur.

Il est bientôt l'heure et tout est prêt. La pâte à crêpes en train de reposer dans le frigo, une collection impressionnante de DVDs, ainsi que des boissons et presque l'intégralité de ses placards posées sur la table basse. L'appartement est propre, tous les plaids que Caleb et lui possèdent sont disposés sur le canapé, et il ne lui reste plus qu'à enfiler son pyjama et à attendre ses invités. Il a hâte de les voir, les nouveaux mariés. Il n'a jamais voulu rien d'autre que le bonheur de Barbie, et de savoir qu'il l'a enfin trouvé auprès de Devlin, qu'ils ont pu concrétiser leur amour, l'emplit d'une joie qui n'a pas l'air d'avoir voulu s'éteindre, depuis que Barbie lui a annoncé la nouvelle. Nouvelle secrète, qu'il a promis de garder pour lui, et qu'il est prêt à tenter d'enfouir dans les plis d'un sourire qui refuse de quitter ses lèvres. Parce qu'avec ce mariage, l'espoir tracé en majuscules ose enfin s'inscrire sur tous les murs: ils sont arrivés. Ils ont enfin franchi la ligne d'arrivée de cette course injuste où Barbie s'est vu, dès le top départ, désavantagé. Le bonheur en trophée, son idéal en carotte pour faire avancer les ânes le long des horreurs sur la route. Personne ne mérite plus que son ami de le brandir au-dessus de lui, d' enfin réclamer son dû. Alors ça lui gonfle le cœur, que l'Octave de jadis, le de Ruiz d'hier, que tous ses morceaux se rassemblent sous la bannière Tarrare.

Sursaut aux coups frappés contre la porte, il se dépêche d'aller ouvrir, et d'attirer Barbie dans ses bras, en rituel de toujours. La capuche rabattue sur la tête, c'est Sully qui les accueille. Coucouuuuu! Il cale un moment sa joue contre les cheveux de son double, avant de se détacher pour enlacer Devlin d'une brève étreinte, jetant un regard et un sourire entendus à Barbie par-dessus l'épaule du devin. Les mots se pressent derrière ses lèvres, et il lui faut se retenir de les couvrir de félicitations et de demander plus de détails sur ce voyage improvisé. Il se recule ensuite pour les laisser entrer. Venez, venez, il referme la porte derrière eux et, après avoir jeté un bref coup d'oeil dans le couloir, la verrouille. Dev, t'es jamais venu, me semble? Bienvenue! La visite c'est facile, ici cuisine et salon, de ce côté-là la chambre et la salle de bains de Caleb, de ce côté là les miennes. Tu fais comme chez toi, mais tu t'en doutes! Trépigne, Silas, quand il désigne tout à la va-vite en se déplaçant vaguement dans l'espace. Vous allez bien, tous les deux? J'suis content que vous ayez pu venir ce soir. Son regard se balade de Devlin à Barbie, sourire imbécile aux lèvres, alors qu'il lutte de toutes ses forces pour ne pas vendre la mèche sur l'instant. Montrez-moi ces pyjamas!


code by EXORDIUM. | @Barbie de Ruiz @Devlin Tarrare





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Devlin Tarrare
- madame irma vibes -
Devlin Tarrare
- madame irma vibes -
damné(e) le : o28/10/2019
hurlements : o4506
pronom(s) : oshe / her
cartes : oava fürelise la perfection // sign exordium // montage par jiji la plus jolie // moodboard par le plus parfait des maris
bougies soufflées : o35
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Le coeur en coton et la vie sur un nuage. Barbie autour du cou, du coeur, de son annulaire depuis quelques jours à peine, et toujours la sensation que rien de tout cela n'était vrai. Ce besoin de vérifier de temps en temps, lorsque Barbie n'était pas à côté de lui, les inscriptions sur l'acte de mariage. Ce nom qui lui avait toujours écorché la langue, qui roulait si bien à côté de celui de l'Homme-Enfant. Barbara Tarrare. Son mari. Un secret rien qu'entre eux et l'Etat Américain, que Devlin n'avait absolument pas su garder en l'annonçant à Wesley, et dont il était certain que Barbie avait probablement déjà lâché l'information lui aussi. L'amour, ils l'avaient toujours vécu en secret. En petit comité. Et si ce mariage ils l'avaient préparé en fanfare, s'ils avaient déjà réservé la date pour l'année prochaine, le devin était heureux de ne pas l'avoir vu venir. Bond en avant vers le bonheur, main dans la main, pieds joints. Leur secret à eux, à leur petit comité, parce que le reste du monde n'avait pas besoin de le savoir tout de suite. Encore perdu entre leurs draps, ce Monsieur Tarrare bien officiel. Ils n'avaient pas encore eu le courage de l'offrir au reste du monde, à moins qu'ils n'en aient pas encore eu l'envie.
Ca aussi, ça comptait beaucoup. Annoncer qu'ils avaient fait le bond pouvait provoquer un bon paquet d'émules, de déceptions et de reproches. Et Devlin était trop heureux pour se cogner les commentaires des uns et des autres. L'alliance lui brûlait agréablement la peau en continu, depuis plusieurs jours. Ornait la petite main fine de son amant, en miroir, à chaque fois qu'il la prenait entre ses doigts pour y déposer un baiser. Difficile de croire qu'un objet aussi simple ait autant d'importance. Difficile de croire que sa signature sur un simple bout de papier pourrait apporter autant de bonheur. Et pourtant.

Ils n'avaient pas eu le temps de poser le pied que la vie avait repris son rythme, avec cette frénésie qui signifiait que l'univers en avait rien à foutre, qu'ils soient heureux ou malheureux. Et le devin en était plus que ravi. Le secret serait plus facile à garder, malgré cette envie qui soulevait son coeur de le clamer au monde entier. Barbie m'a choisi. Barbie a décidé de passer sa vie avec moi. L'envie pernicieuse de retrouver le fameux Frankie pour lui envoyer une copie de l'acte de mariage avait même effleuré son esprit. Vite remisée en arrière-pensée, le sourire de Barbie, si éclatant depuis Vegas, trop lumineux pour être entaché par ce type de souvenirs. Il n'était plus question de ces autres à présent. Juste de leur bonheur.
Juste de ce plaisir d'appartenir entièrement et purement à cet homme qui était arrivé dans sa vie comme une tempête, et avait secoué toutes les fondations de son existence, si fort qu'il l'avait fait renaître.

Puis il y en avait d'autres, des hommes qui comptaient dans une vie. Il y avait leurs meilleurs potes respectifs. Il y avait Wes, parti trop loin, pendant trop longtemps, dont l'absence marquait encore les murs de l'appartement. Malgré que le couple l'ait particulièrement bien investi. Il y avait tous ces potes inconnus de Barbie, que le devin était plus que prêt à rencontrer. Mais il y avait surtout Silas, à qui même le plus secret des être aurait hâte d'annoncer la nouvelle. Silas qui les attendait pour passer une soirée à tous les trois, comme des gosses, la première depuis longtemps. Le sac rose de Barbie en bandoulière, lourd de tout ce que son propriétaire avait fourré dedans, Devlin n'avait aucune idée de ce qui était particulièrement prévu. Encore épuisé par la route, le jeune marié, des cernes grisâtres sous ses yeux noirs en ayant attrapé le premier t-shirt et le premier pantalon de pyjama qu'il avait trouvés. Il les avait confiés à Barbie avant de rejoindre la cuisine pour achever les quelques fournées de gâteaux qu'il avait prévues pour la soirée. Laissé son mari à sa grande expédition à travers sa penderie, Barbie concentré à retrouver un pyjama en particulier, avant de marquer une pause. Son mari. Rouge au joues et papillons dans le ventre, il avait replongé ses mains dans la pâte à cookies.

-Saluuut !

Un sourire plein de dents, et Sully les attendait déjà derrière la porte. Il n'avait encore jamais mis les pieds dans la colocation de Silas, le Canadien, accueillit Sully dans une semi-étreinte amicale, un bras dans les poils bleus, l'autre occupé à tenir la boite pleine de gâteaux maisons en équilibre instable. Sourire élargi en retrouvant le visage de Silas sous la capuche. Trop heureux pour son propre bien depuis plusieurs jours. Ses lèvres se rassemblèrent sur un sifflement admiratif en se laissant guider dans les lieux.

-C'est très beau chez toi ! Et deux salles de bain, ce luxe !

Prosaïsme éclairé du routard, habitué au luxe spartiate de sa caravane. La salle de bain de l'appartement avait été une sacrée ascension - et la baignoire une très agréable surprise, quand Barbie parvenait à le suivre dans la salle de bain - mais deux ? Il lova le plat chargé de gâteaux dans les bras de leur hôte, embrassant encore un peu l'espace du regard. Trop de surprise, trop de fascination pour le lieu de vie de leur ami. Il devait être encore vraiment trop crevé par la route. Si crevé qu'il lui fallut un moment pour comprendre de quels pyjamas Silas était en train de parler.

-Ah, fallait les mettre avant de venir ?

Regard troublé de la fatigue vers le visage en forme de coeur de son homme. Il déglutit doucement avant de déposer le sac au sol et tirer sur la fermeture éclair. Le contenu sous pression jaillit aussi sec de l'ouverture.
Mais aucune trace du sien, de pyjama, même alors qu'il cherchait. Même après qu'il ait tendu celui que Barbie avait sélectionné à son amant. Dubitatif, en levant le nez du sac.

-J'ai zappé de te passer mon pyjama, shonu ?

Dubitatif contre lui-même, en vérité. Il avait l'impression de l'avoir confié à Barbie, son pyjama, oui. Devlin pouvait presque en sentir la matière un peu élimée au creux de sa main. Mais il oubliait pas mal de choses, ces derniers temps.
Il n'avait pas encore tout à fait récupéré.




L O V E
by QQ & EXORDIUM.

quand Barbie vit mal son régime:
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Barbie Tarrare
- skip, petit mais puissant -
Barbie Tarrare
- skip, petit mais puissant -
damné(e) le : o07/10/2019
hurlements : o4829
pronom(s) : oshe/her.
cartes : o(av/icons) fürelise (cs/gif/sign) tucker.
bougies soufflées : o34
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-- silas, devlin & barbie.

Il n'avait pas connu plus grand bonheur que celui de s'allier jusqu'à la fin de ses jours, à une personne précise. Lorsque les voeux avaient été échangés avec Earleen, la sensation n'avait pourtant pas été la même. Il ne ressentait pas ce besoin essentiel de s'accrocher à son âme jumelle, pour ne plus jamais à la voir s'enfuir. Il n'avait pas cet ami, si proche, pour partager cet amour, ni la possibilité d'accourir vers lui pour lui mettre sa bague sous le nez. Il y avait bien des facteurs différents qui pouvaient expliquer que ce mariage-là se trouve bien plus important que le précédent. Mais le principal était évident ; il n'avait jamais aimé Earl avec la même intensité que Devlin. Elle résidait là, la principale différence. Et si les clauses de leur amour n'étaient pas les même, Barbie espérait que le dénouement soit également différent. Il n'était pas question de rentrer un jour, et se faire jeter les papiers d'un divorce brutal au visage. Lui qui avait tout fait pour être un mari acceptable, malgré une épouse absolument abjecte, pensait ne pas mériter un tel traitement, assorti de ces cris qu'il ne pouvait plus entendre.
Mais le devin n'était pas comme ça ; il était quelqu'un de bon. Barbie se sentait changer à son contact, et s'adoucir. Lui qui avait changé de voie, pour devenir le vaisseau d'une violence inouïe, retrouvait peu à peu ses réflexes enfantins à force de passer du temps avec une personne aussi douce que le divinateur. Et ces instants, bien qu'ils ne soient qu'à eux, qu'ils leur appartiennent entièrement, il comptait en partager quelques uns avec son meilleur ami. Sa vie n'était pas la même quand Silas n'en faisait pas parti.

L'invitation était donc parfaite. Il ne lui en fallait pas plus pour être le plus heureux des hommes : une soirée avec son mari et son meilleur ami. Il ne pouvait pas rêver mieux. Lui et son époux s'étaient promis de garder leur union secrète, mais Devlin devait se douter que l'enfant n'avait pu tenir sa langue trop longtemps. Lui qui avait toujours tout partager avec Silas, de ses rires à ses pleurs, depuis son plus jeune âge, ne pouvait garder une si grande nouvelle secrète. Il ne rêvait que de se pavaner face à lui, d'aller acheter son costume pour le grand jour en avouant qu'ils étaient déjà mariés. Il lui avait dit. Il n'avait pas tenu bien longtemps avant d'annoncer la nouvelle avec une joie à son paroxysme. Et la réaction de Silas avait été celle espérée ; un bonheur inégalable. Il était déçu qu'il n'ait pu les accompagner, et aurait aimé qu'il lui serve de témoin principal, mais il aurait tout le loisir de le faire durant leur cérémonie officielle, celle où ils se diraient oui devant leurs amis, et danseraient de manière approximative en ricanant bêtement. Certainement que Barbie se mettrait à pleurer ; sûrement que Silas aussi, et Devlin, n'en parlons pas.

Ils s'étaient préparés à cette soirée, le devin s'occupant de faire des gâteaux que Barbie aurait gâché en apportant son aide, et l'enfant fouillant le fond de sa penderie pour retrouver le pyjama de Bob Razowski qui venait compléter le Sully de son ami. L'ensemble que son mari lui avait tendu, afin qu'il l'ajoute aux affaires, avait terminé dans son armoire, afin qu'il ne puisse s'en servir le soir même. Ils avaient prévu mieux que cela, Silas et lui. Ils comptaient l'assortir à leur duo, ne pas le laisser en retrait avec ses vêtements qui n'auraient pas le même peps que les leurs.
Ils arrivent devant la porte d'entrée, Devlin chargé, et Barbie les mains vides, sautillant de manière trop joyeuse et enfantine à l'idée de cette soirée, et de revoir son meilleur ami. Il aurait pu décharger son mari de quelques affaires, mais n'y avait même pas pensé, trop occupé à parler, avec ses mains, ses gestes, l'intégralité de son corps. Bien trop expressif physiquement, lorsque le bonheur était à son comble. Il accueille Silas dans ses bras, la porte à peine ouverte, se perd contre lui en le serrant contre son torse. Il était toujours fou de joie de le revoir, ne se lassait jamais de sa présence, même après presque trente ans d'amitié.

Il laisse ensuite l'étreinte se faire entre les deux hommes, en faisant un clin d'oeil à son ami, sans que la troisième pièce de ce duo ne puisse l'apercevoir. Ils devaient être discrets, et ne pas montrer que le bouclé était au courant de leurs cachotteries. Certainement que Devlin ne lui en voudrait pas, mais il ne souhaitait pas qu'il soit au courant qu'il avait brisé leur entente en avouant l'escapade à Vegas. - Salut, love ! Il regarde son mari évoluait dans l'espace, ne s'était pas fait la réflexion qu'il s'agissait de sa première venue entre ces murs. Lui y avait passé tant de temps, avait déjà tant partagé avec Silas, sur ce canapé. Il devait rester des bonbons collés entre les coussins, et des tâches de soda qu'ils n'avaient pas pu faire partir avec de l'huile de coude.
Il attrape le pyjama vert que lui tend Devlin, et le cale sous son bras pour aller l'enfiler ensuite. Ils n'avaient pas portés ces vêtements communs depuis une éternité, et avait hâte de le mettre sur son dos. Il hausse ensuite les épaules à la question de son époux, concernant le sien. - Désolé, j'ai dû oublier. Il se met sur la pointe des pieds, et dépose un baiser contre sa joue comme pour demander pardon, avant d'ajouter. - Sisi doit bien avoir quelque chose à te prêter, on va aller voir ça. Reste là, ne bouge pas. Il se tourne ensuite vers son meilleur ami, un sourire entendu, étendu sur ses lèvres, jusqu'aux oreilles. Il attrape la main de son ami de toujours, et le tire presque jusqu'à sa chambre, en faisant signe à Devlin de ne pas bouger, mimant qu'ils reviennent très vite.

Une fois dans la chambre de Silas, il lui lâche la main et sautille presque en allant chercher le pyjama violet qu'ils avaient laissés ensemble dans un coin, pour l'occasion ; pour la surprise. Il sort le tissu de son sachet, et l'étend devant leurs yeux pour le regarder un instant. Il lui chuchote. - Il va être trop mignon dedans, tu crois qu'on peut lui faire les deux p'tites couettes, qui vont avec ? Un sourire de gamin, et l'envie de rire juste à y penser. Le rouge aux joues en imaginant la bouille, les petites joues, de son amant dépassant du costume de Boo. - C'est frustrant de devoir faire comme si t'étais pas au courant pour le mariage, j'ai hâte qu'on puisse te l'annoncer officiellement. Il sautille presque en lui prenant la main, et revient dans le salon, retrouver son mari.
Il lâche la main de Silas, et montre le pyjama dans un geste théâtral nécessitant un tadaaaaaa. Le costume de Bob toujours coincé sous son bras, qu'il prend entre ses deux mains après avoir donné celui pour son mari à Silas. Il s'éloigne légèrement en direction de la chambre, mais seul cette fois-ci, ne pouvant se changer face à des regards. - Je vais enfiler le mien. Il s'éclipse, se change lentement, yeux fermés pour ne pas tomber sur une parcelle de peau, sans le vouloir. Et ne réapparaît que quelques minutes plus tard, en Bob.



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close your eyes, give me your hand, darling. do you feel my heart beating ? do you understand? do you feel the same ? am i only dreaming ? is this burning an eternal flame ?
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