ligne de vieoctobre humide, 1999 Crachin des soirs d’automne, gamine tombée entre les cordes qui battent le pavement, premier cri coup de tonnerre dans les ciels éventrés d’Exeter. Entrailles maternelles rincées au caniveau, môme de la pluie et du trottoir, fracas de gouttelettes sur le visage poupon abandonné aux portes de la cohorte. Ça lui aura valu son surnom, Goutte. Gamine de personne, gamine à tout le monde, cent parents, sans maman, Goutte élevée dans le clan et le secret.
En tout point Goutte de sang autant que de pluie, c’étaient des eaux rouges qui flic-flocaient sur le front de la gamine.
Narration atrophiée, récit modifié, prémâché craché dans le bec bambin. Taillé dans le vrai, assurément, mais mensonge malgré tout. Bouts de vrai lâchés dans la pluie marteau aux carreaux et aux visages, dans le seuil du Crépuscule, décor de l’incipit terrible. Pourtant, Goutte pas fille d’inconnue, pas laissée là par hasard. Engeance de chienne blessée qu’a mis bas dans la rue, escampette et autres poudres prises au nez pour s’échapper une dernière fois. Sac poubelle pour premier refuge, trois coups cognés contre la porte et trois gouttes de sang sur le front du nourrisson.
Aujourd'hui, vingtaine entamée, Goutte se fait torrent à venir, rassemble ses nuages pour mieux faire tomber le ciel sur la tête de ceux qui voudraient remonter ses courants.
ligne de cœurcœur en mer, cœur balance Pas l’temps de trouver l’amour à toutes les ruelles, pas l’temps de lever la jupe contre les poubelles. Exècre les cons qui pensent mériter l’arc-en-ciel sans avoir connu la pluie. Mépris pour les chiens galeux qui chassent, qui s’éclatent les veines à flairer les culs qui passent, parce que Goutte, elle est pas gibier, pas dessert bouchée bouffé avec les doigts. Femme jamais chienne, Goutte, Gamine à peine, à peine arrachée aux griffes de l’enfance. Petit Chaperon Rouge de colère jamais perdu aux bois, cache des couteaux dans sa confiture et porte la peau du loup comme un trophée.
Pourtant, malgré elle, elle avale les regards chiens posés à ses traits, offrandes aux chants de sirène qui se taisent dans sa gorge, qui se terrent dans les sourires refusés, et qui se décèlent dans les instants volés.
Persephone, déesse du printemps autant que des morts, cache des bourgeons d’amour sous ses gels éternels. Traîne les yeux aux femmes avant les hommes, naïve sous ses écorces faussement solides.
provenanceexeter, trottoir Origines lavées dans les averses, elle ne se sait que d’Exeter. Goutte sait pas d’où viennent ses boucles, quel soleil ancestral a halé sa peau, quelles terres auraient été les siennes si elle avait échoué à d’autres portes. Elle aime s’imaginer de Grèce et d’ailleurs, recueillie sur la route par le cirque que le clan n’est plus.
Plus que tout, elle est fille de la Cohorte et de l’eau.
Ignore encore tout des méandres inextricables qui ont précipité sa naissance. Mère et enfant destinés à Satan, l’une par la mort, l’autre par la vie, offrandes rituelles à l'éternel.
gagne-painétudiante en journalisme Bonne élève derrière ses insolences, Goutte déterminée à débusquer les injustices et à chasser les vérités. Etudes financées en partie par ses co-parents de la Cohorte, vaguement réticents au départ. Cohorte forgée dans l'ombre, à l'écart, à l'abri, pour garder le silence et protéger ses membres; puis la gamine boulet de canon. Le silence et le bruit. Contradictions qui cohabitent bon gré mal gré, mais elle connaît la doctrine, Percy, la valeur des informations et l'importance des secrets.
Rêves de projecteurs, d'apparaître à l'écran plus que de manier la caméra, de tailler dans la chair et les secrets pour obtenir les vérités que les autres cachent dans leurs cœurs, quitte à faire mal, surtout si ça fait mal.
Sait pas trop où elle va, Goutte perdue dans l'océan des possibles et des futurs.
nightcrawler & nettoyeuse pour la Cohorte Images trash vendues au plus offrant, Goutte marchande de sang et d'entrailles pour faire vibrer les ménagères. Caméra chargée toujours cachée dans le sac fleuri accroché à son dos. Écouteurs aux oreilles branchés sur les scanners de police, nuits passées à moto, à sillonner ses terres natales, à la recherche de crimes et d'accidents qu'elle a vu arriver.
Procédé rituel. Rapport détaillé des visions funèbres envoyé à la famille, pour déterminer les éventuelles scènes de crime. Goutte roule et débarque jusqu'aux morts avec trop peu de dégoût pour son âge. Cadavres aux airs surnaturels immortalisés pour peut-être faire chanter quelques coupables, puis elle efface les preuves et sort la caméra, prête à filmer la une du journal du lendemain.
Efforts anonymes, le clan insiste, et la sirène amère.
ligne de tête Môme tempête, justicière sans son masque, bornée butée, gueularde, contradictoire par principe, trust issues, fouille-merde, là pour gagner, ambitions dévorantes, besoin d'admiration, paradoxale indécise, sourires gardés pour les proches, théâtrale, vaguement vicieuse, rancunière revancharde, toute la vérité rien que la vérité, faussement hautaine, McGyver au féminin, shoot first ask questions later, caméléon, avide de tout.
boule de cristal anger
phobieablutophobie, poumons gorgés d'eau Gamine sourire partie gueuler sur les toits qu'elle est sirène sans les cheveux roux et les écailles. Information glanée à coller les esgourdes baladeuses derrière les portes des grands, dans l'immeuble entier qui lui sert de maison. Souvent rien de plus juteux que le menu du soir ou les déconvenues du jour, mais pas cette fois.
Jamais su taire les secrets, Goutte. Jamais su qu'elle avait pas la peau et pas les cheveux des sirènes qu'imaginaient les autres.
Si t'es une sirène, prouve-le.
Yeux ouverts sous l'océan, main appuyée contre son crâne, Goutte salée regarde ses bras battre l'eau sans effet. Rires étouffés au-dessus d'elle, et la peur qui naît dans le silence. Sirène sans nageoires et sans branchies, et la respiration qui se retient plus. L'eau qui s'infiltre, qui se fait feu aux narines et dans la gorge, qui plonge aux poumons, et Goutte crie sans voix comme l'Ariel qu'elle n'est pas.
Plus jamais plongé, Goutte. Peur panique et qu'elle étouffe à l'idée.
Depuis, elle ferme sa gueule.
(para)psychologiesirène Dès les premiers signes, les premières apparitions des caractéristiques sirène de la gamine, ils ont voulu contrôler ses appétits. Monsieur Loyal, Cyrus Bardwell, papa poule de l'orpheline à ses heures perdues, déterminé à pas la laisser goûter au plaisir de blesser, au sentiment d'euphorie qui accompagne, chez les sirènes, le malheur causé. Gamine lumière qu'il voulait pas voir s'avilir, s'abîmer dans la destruction d'autrui. Pas comme sa mère. Alors il s'est fait mensonge. Un de plus.
Be admirable, Percy.
Mantra répété en permanence, à lui faire croire que y'avait que ça pour satisfaire ses soifs de reconnaissance. Qu'il fallait faire preuve de bonté, défendre son prochain, protéger les faibles. Soldat de la veuve et de l'orphelin, Goutte minus à faire chialer les bullies et croire que c'était les regards admiratifs des victimes qui la faisaient planer. Encouragée par toute sa grande famille d'outcasts à ne diriger ses colères que contre ceux qui les méritaient.
Personne lui a conté le bonheur de casser quelques rêves du bout de sa langue, de faire couler des larmes en larguant ses vérités cadavres dans les océans des autres.
Elle y croit encore, Goutte, à mi-temps. Parce qu'à coup sûr, ils lui auraient pas menti.
précognition, présages funèbres Morts violentes explosent à ses rétines avec quelques heures d'avance. Suicides, accidents, meurtres, elle les voit éveillée, Goutte. Aujourd'hui suffisamment clairs et détaillés pour qu'elle les voie mourir et qu'elle essaie de reconnaître les lieux. Gamine vaguement idéaliste a vainement tenté de les empêcher, une fois ou deux, bouffée par l'idée de pouvoir éviter les carnages. Toujours arrivée trop tard, parfois d'un rien, à croiser flicaille affolée ou assassin furieux, mais jamais le regard vivant des victimes. De ses sauvetages foireux, elle n'a récolté qu'emmerdes et suspicions erronées, alors d'actrice elle s'est fait témoin.
Depuis, Goutte, caméra en main, fondue dans le décor, n'essaie plus de sauver personne.
croyances Élevée sirène parmi les freaks, l’Iliade et l’Odyssée comme Évangile, Goutte nourrie aux dieux et leurs pouvoirs. Toute bambine, déjà, ballottée sur les genoux de ceux qui écrivent les mots des morts, qui voient les futurs et les passés, ceux qui entendent des voix sans être fous, à écouter leurs histoires et leurs secrets. Tous ses parents de substitution devenus autant d’odes à l’inexplicable. Impossible, dès lors, de se détacher des croyances qui tiennent ensemble les murs de la Cohorte, d’échapper au sang de rivière dans ses veines, sang de naïades et de chimères.
Tu sais, Gamine, j’aurais pas fait bonne mère. J’ai fumé, baisé, sniffé dans ton cocon de chair. Mauvais augure, mauvaise nouvelle. Combien de temps t'aurais cru que la vie était belle? Paraît que c'est propre aux gosses, mais toi t'es fille de Satan. Estafilades de mauvais choix qu’j’ai jamais su regretter à temps.
T’auras jamais de place dans mon cœur, mais ça fait huit mois que tu t’en es forgée une dans mon bide. J’t’ai haïe à chaque gerbe de bile crachée aux chiottes, à toutes les félicitations empoisonnées, à toutes les douleurs et les remontrances.
C’est pas bien, d’écrire ça à un marmot même pas né.
Des séquelles que ça laisse, des cicatrices que ça te trace aux poignets et des larmes que ça fait couler sur tes joues, j’en saurais jamais rien. C’est mieux comme ça.
Si t’es comme moi, gamine, vice caché, vis cachée.
Par contre, j’vais nous donner une chance. Toi, la première, moi, la dernière. T’épargner mes mauvais choix. J’te laisserai à la cohorte, qu’ils se démerdent.
Viens pas dire que j’ai jamais rien fait pour toi.
C’est bientôt l’heure. Voue ta haine à tous mes torts si ça te chante.
Mots saignés d'une main de mère sur du papier déjà froissé.
Prélude infernal.
Lettre poussière traîne depuis vingt ans au fond d'un tiroir dans le bureau de Mr Loyal. Secret gardé sur les origines de la môme, nom maman secret perdu. Mère soupir de l'église de Minuit, cuisses ouvertes à l'inconnu. Engeance convoitée des disciples sataniques, puis vieux sursaut d'instinct maternel, et dans la confidence générale qu'elle l'a arrachée à son destin.
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Maman, Paraît que je suis une sirène, mais ça veut pas dire que je peux respirer sous l'eau. Est-ce que toi aussi, t'es un sirène? Je t'en ai dessiné une, de l'autre côté de la feuille.
Reine du préau, Goutte gamine à la langue sauvage et aux genoux toujours écorchés, surveille ses domaines du coin de l’œil. Espions serviables qui rapportent à ses oreilles les agissements des uns et des autres et l'avertissent des saloperies qui se murmurent entre gamins. Petit con qu'a tapé le copain, et Goutte d'orage tombe, nuage noire. Mots affûtés qu'elle plante sans peine, qui ne s'arrêtent que bien après la victoire. Pas bien grande, la sirène, pourtant déesse quand elle tend la main vers les bousculés du jour, et ça s'embue de larmes et de remerciements qu'elle bouffe sans retenue. Gratitude et reconnaissance qui attisent ses feux.
Souvent les insultes suffisent, parce que contrairement aux pseudo-terreurs des bacs à sable, Goutte elle a peur de rien. Entraînée à se défendre très tôt, versée dans les légendes antiques, les potions auxquelles elle n'a pas droit, et les menues escroqueries, elle faiblit devant personne. Poings accompagnent les plus résistants, et ses foudres vengeresses s'abattent sans merci. Elle sait juste pas s'avouer que ça fait encore plus de bien, de faire mal. Que la peur et les pleurs lui collent à la peau autant que les regards béats. Croit naïvement ce que disent les grands, que c'est l'adrénaline des bonnes actions.
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Mère, C'est mon anniversaire. Quinze ans de ton absence. Te fais-tu Déméter, à saigner le monde à ma recherche? Le nom que je porte a-t-il fait écho jusqu'à ton cœur? Les dieux répondent à nos prières, pas toi.
Mélodie du sang qui coule, flic-floc rouge sur le livre d'histoire, trois gouttes de sang tombées du nez, migraine frappe au crâne avec la violence subite d'un coup de fusil. Goutte pâle à crever, à ne rien y voir à travers des yeux troubles, titube jusqu'aux toilettes des filles, crache ses organes contre la faïence dégueulasse, mains-serres accrochées aux rebords.
Demi-seconde d'inconscience, tête fracas contre le mur, et un visage. Contours inconnus qui flottent à l'esprit avant qu'elle ne rouvre les yeux. Excusée de classe, Goutte rentrée écroulée sur un canapé, trace du bout des yeux les traits aperçus dans une transe qui s'efface à peine. Quelques heures plus tard, Percy comme neuve à sa soirée d'anniversaire pseudo-clandestine, oublie les affabulations venues de migraines.
Portrait pour trait exhibé cadavre au journal du lendemain. Crevé mort glacé au petit matin chantant.
Cohorte levée d'un seul homme, branle-bas de combat à tous se presser à sa porte pour entraîner la gamine. Mois suivants se sont faits eaux stagnantes de potions et de migraines, polluées de visages vagues irrémédiablement trouvés froids des heures plus tard. Un an ou deux qu'il aura fallu, pour améliorer les visions, pour apaiser les maux de tête, pour utiliser les morts qu'elle voit en avance.
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Mère, Toujours sans mots de ta part. Sans mot, cent maux. Sang mot, sans moi. Putain c'est con, j'y crois encore.
Nuit sanguine, vents couteaux comme les maïs d'octobre perdus aux champs, Goutte vêtue de cendres fondue dans les ombres. Caméra vacille en main, bécane garée plus loin, pas à pas prudent dans la ruelle aux relents de pisse. Ecran qui trouve un bras, un torse, une flaque de sang en auréole autour du corps. Ange funèbre et Persephone reine des enfers peine à contenir ses nausées. Première fois qu'elle trouve la mort dans la chair, et les siennes qui se hérissent de dégoût. Respire saccade, l’œil rivé sur l'appareil, à chercher le meilleur angle, les détails sanglants. Pas gaffe aux à-côté, Goutte hypnotisée par le macabre.
Regard panique levé en entendant un bruit. L'image qui tourne trop vite pour vraiment saisir le moment. Caméra casse au sol et l'écran pété filme pas les mains rougies qui s'accrochent au cou de la gamine. Serre et serre étouffe, et y'a le coup de pied réflexe qui sauve la vie et la môme qui détale en courant jusqu'à la moto, le cou taché du sang d'autrui, larmes aux yeux rougis et économies gâchées à côté d'un cadavre.
Pourtant pas découragée, Percy à la détermination féroce. Fera plus gaffe la prochaine fois.
Maman, maman, on se voit quand?
Dernière édition par Persephone Vaughn le Mer 27 Mai - 19:05, édité 9 fois
Membre de la Cohorte... so, parmi les meilleurs du monde ?
Rebienvenue parmi nous ! Je ne connais pas l'avatar que tu as choisi, mais elle est trooop jolie. (Puis sirène... ) Que des bons choix, j'ai envie d'en savoir un peu plus sur la miss maintenant !
Moi devant ta plume magnifique et tes personnages que j'aime d'amour Tu sais déjà tout le bien que je pense de ta nouvelle merveille mais c'est encore plus sublime que ce que j'imaginais, je suis soufflée Je me noie dans mes feels et ma bave à chaque ligne, j'ai même plus de mot pour exprimer toute mon admiration là en fait C'est cruel d'écrire si bien, on sent qu'elle a été ficelée jusque dans ses moindres détails en plus Je me languis fort fort de dévorer la suite et de la stalker en jeu Re-bienvenue chez toi mon chaton Amuse-toi bien et oublie pas de me garder un petit lien (je fais genre t'as le choix, plot twist : nope )
je ne commente ni ta plume, ni ton perso, ni ton pseudo, parce que j'suis jalouse. et en tant que rageuse, j'peux pas t'complimenter.
(t'es la plus belle, la plus mieux bien, j'me noie dans ma bave aux côtés de bb sanya. j'reviendrai finir de lire plus tard. et t'as vu, j'écris ça entre parenthèses, au moins ça fait genre j'l'ai pas vraiment dit et j'reste dans ma rage. )
j'vais te réserver l'avatar, rebienvenue mon poussin.
(ps, j'te réserve l'avatar deux semaines, mais si tu termines pas ta fiche avant, j'te flagelle. de l'amour. )
YOU BELONG WITH ME
close your eyes, give me your hand, darling. do you feel my heart beating ? do you understand? do you feel the same ? am i only dreaming ? is this burning an eternal flame ?
ta plume si belle et si douée pour créer des personnages tous si uniques. j'suis déjà tellement in love de c'nouveau bébé. puis trop joli choix d'avatar. tout est parfait. le prénom on n'en parle même pas.
mais c'est quoi cette merveille ???? la plume est trop belle. je ne connais pas le fc mais elle est tout aussi belle ejfpijprgiof. (re) bienvenue alors.
Ah jolie p'tite Goutte, elle est encore plus belle en vrai que quand t'en parlais
Hâte d'en découvrir encore plus sur elle, avec une plume comme la tienne et un personnage comme elle, je suis sûre que l'ensemble ne peut que donner une merveille
Re-bienvenue chez toi, jolie Goutte, régale-toi bien
@Olympia Nyström go la Cohorte Aurora est si jolie Merci beaucoup
@Orphé Sykes Merci chat, contente que les choix te plaisent
@Sanya Azarov pas possible d'être aussi adorable là Je t'aime fort d'amour et je vais crever sous tes mots et même si tu voulais t'échapperais pas à un lien Merci bb chat
j'ai déjà tout dit. elle est si belle ta nenette, avec ses grandes boucles là ce surnom est si mignon, et ça veut dire qu'elle va s'transformer en flaque, elle aussi ?
la fiche elle-même, ta plume, toussa toussa. que du bonheur, chaton. rebienvenue, mais t'es déjà chez toi.
love.
la personne qui s'occupera de toi est @devlin tarrare. si tu as un souci, adresse-toi à elle en priorité. ton flood d'intégration est la momie.
≠ avant de te lancer dans la chasse aux fantômes et de te perdre dans les ruelles sombres d'exeter, il faudra te rendre impérativement aux listings des professions, affections, dons et phobies pour y recenser ton personnage.
≠ parce que nous sommes humains et que les oublis peuvent arriver, n'hésite pas à consulter le bottin des avatars histoire de vérifier que la célébrité choisie s'y trouve.
≠ bien entendu, une orgie aventure seul est bien moins intéressante qu'à plusieurs ! c'est pourquoi tu peux, de ce pas, créer une fiche de liens pour que les membres puissent t'harceler.
≠ on aime tous souffrir un peu, mais, parfois, le passé et l'histoire de certains personnages ne collent pas au nôtre. tu es donc libre de créer un scénario et/ou un prélien de toute pièce et prier pour que quelqu'un en tombe éperdument amoureux.
≠ et, pour terminer, nous t'invitons à (re)lire le guide du nouveau histoire de t'imprégner d'avantage à l'univers de famous last words. il s'agit d'un mode d'emploi qui comporte les liens importants et qui te seront utiles au développement de ton personnage.
YOU BELONG WITH ME
close your eyes, give me your hand, darling. do you feel my heart beating ? do you understand? do you feel the same ? am i only dreaming ? is this burning an eternal flame ?