Revenir en haut Aller en bas


AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Le Deal du moment : -39%
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
Voir le deal
399 €

Partagez
 

 the greatest time of our lives (simone)

Aller en bas 
Kyle Osborn
- camion pouet pouet -
Kyle Osborn
- camion pouet pouet -
damné(e) le : o03/07/2022
hurlements : o387
pronom(s) : oshe/her
cartes : ofurelise, tucker
bougies soufflées : o30
the greatest time of our lives (simone)  Empty

the greatest time of our lives
Ca tournait, tournait encore sous les boucles blondes. Un éclat de génie, rare, mais précieux. Fulgurance d'un esprit généralement embrumé par les vapeurs d'alcool et d'autres substances, mais celle-là était restée comme une empreinte dans la matière grise du mécanicien. Parce que celle-là était bien plus importante que d'autres. Kyle avait abandonné tout espoir en ce qui concernait Zach. Il avait bien dû se faire une raison, son frère ne reviendrait plus jamais au bercail. Une réalité à laquelle Andy semblait s'être fait avant son deuxième rejeton. L'expression mélancolique qui traversait ses beaux yeux noirs tranchait avec son silence sur cette question. Sa voix feutrée l'exprimait quelques fois. A leur âge, c'était plus que normal qu'ils veuillent couper le cordon. Il forçait même parfois un sourire, prétendant s'amuser que les deux jeunes hommes ne l'aient pas fait plus tôt. Mais Kyle n'était pas aveugle. Stupide, mais pas con. La déception courbait toujours les épaules d'Andy, à chaque fois qu'il le voyait passer devant la porte de la chambre de Zach. L'espoir illuminait ses prunelles sombres, quand il arrivait qu'il y entende du bruit. Même quand il savait que Simone y cuvait son vin. Même quand il savait que c'était Kyle lui-même, passé dans la chambre du fantôme pour lui piquer des chaussettes. Toujours la même lueur. Toujours avec la même douleur qu'elle finissait par s'éteindre.

A croire que cette piaule était maudite. Parce qu'après y avoir déposé ses valises, c'était au tour de Simone de se faire de plus en plus absente. Tous les hommes de la maisonnée s'étaient accordés sans se parler. Personne ne savait depuis quand elle avait élu domicile partiel dans la chambre du brun, mais tout le monde s'en fichait. Elle était arrivée comme ça, elle était restée comme ça. Tout juste s'ils se souvenaient depuis combien de temps la jeune femme apportait cette étincelle de vie si contagieuse dans leur maison. Mais oui, c'était à croire que cette chambre souffrait d'une malédiction inconnue. Du jour au lendemain, comme elle était apparue, Simone avait fini par disparaître elle aussi. Avait élu domicile dans le nouveau domicile de Zach, supposément. Mais Kyle n'aurait pas mis sa main à couper sur ce sujet. Ils se revoyaient suffisamment à l'Alliance pour qu'il ait une idée générale de la vie de son amie. L'avait trouvée plus éteinte, moins vivante, ces derniers temps.
Puis à l'Alliance aussi, elle avait fini par moins venir.

Comme Zach.

Deux ombres, dans la vie de Kyle. Le regard perdu dans les flammes dansantes de ce brasero improvisé, lors de cette soirée sur la plage avec d'autres "collègues" de l'Alliance, il s'était demandé. Ses parents aussi avaient fini par devenir des ombres. Lui-même les avait en horreur. Est-ce que c'était de sa faute ? A vivre entouré de fantômes, peut-être qu'il fallait qu'il se tourne vers l'origine du mal. Tous les gens desquels il devenait réellement proche finissaient par s'échapper, tour à tour. Jamais totalement. Laissant toujours leur empreinte fantomatique, tout autour de lui. Sa mère avait disparu, son père avait été assassiné. Zach avait disparu, Simone aussi. Tous lui manquaient cruellement. Le regard céruléen s'était laissé happer par ces flammes, les mêmes que celles qui couraient naturellement dans ses veines. Celles qui avaient embrasé le braséro qui le consumait à présent. La pensée s'était imposée dans le panache de fumée. Puis un rot. Long. Du fond des tripes.
Se rappeler qu'il avait trois grammes huit d'alcool dans le sang le ramena sur le plancher des vaches. Il n'était pas maudit, il était juste bourré.
Puis, elle l'avait frappé, la fulgurance.

Il s'était foiré avec Zach, c'était un fait.
Mais Simone n'avait pas besoin de devenir un fantôme de plus.

Généralement ses fulgurances ne duraient pas plus de quelques minutes. Mais celle là était restée accrochée, même après la douleur de la gueule de bois. Pire, elle avait profité que Kyle cuve son vin pour s'enraciner sous les boucles blondes. Nauséeux, mâchonnant son bol de céréales, il l'avait vue grandir toute seule. Il n'avait suffi que de passer devant les cartons qu'Andy avait préparés en vue d'un vide-grenier auquel il comptait participer. Un vieux drap qui en avait vues de meilleures pendait piteusement par dessus, à côté des quelques vieux pots de peinture dont Andy s'était servi pour préparer ses pancartes. Les doigts fébriles du blond s'étaient laissés porter par la fulgurance. Il avait empoigné drap et pinceau. Porté par l'unique pensée dont son cerveau était capable. Le bol de céréales, il ne le reprit que d'une main tâchée de peinture noire. Son oeuvre s'étalait devant lui. Un vieux drap troué sur lequel n'était écrit qu'un seul mot :

INTERVANSSION

Impossible de savoir si les produits chimiques contenus dans la peinture ou la fraîcheur de la brise qui s'engouffrait dans le garage était responsable. Mais Kyle se sentait de suite nettement mieux. L'idée plus claire, il bomba fièrement le torse. C'était acté. Avec les années qu'ils avaient partagées, Simone n'était plus simplement une amie depuis longtemps aux yeux de l'Irlandais. Ils avaient brûlé plus d'une étape, avaient franchi plus d'une limite, avaient partagé plus d'une connerie depuis aussi loin qu'ils se connaissaient. Mais les deux étaient secrets, préférant se préoccuper de s'amuser plutôt que d'ouvrir leurs coeurs. Kyle, lui, en avait gros sur la patate. L'état de la jeune femme le préoccupait. Son absence rompait avec toutes leurs habitudes. Son incapacité à se pointer à toutes les soirées auxquelles elle aurait participé, en temps normal. Il se passait quelque chose, dans sa jolie tête bouclée. Et il avait l'intention de le découvrir. Ils n'étaient pas qu'amis, ils s'appelaient "bro". Et un bro n'en est pas un s'il laisse son bro dans la panade.
C'était décidé, donc. Le reste du plan ne mit pas longtemps à se décanter. Il ne suffit que de jeter un oeil dans la chambre de Zach pour que toutes les pièces finissent par s'aligner. Une parfaite tempête, provoquée par cette robe de soirée noire, roulée en boule dans un coin de la chambre abandonnée.  

to: oh hell no
xx:xx - bro, tsais le film kon maté lautre fois, wedding crashers ?
xx:xx - se soir jte régal, on crash 1 soirée de bourge, nn négociable
xx:xx - jpasse te prendre, taura bsoin de la robe ke ta laissé chez Andy


La banderole serait dans le salon. Les heures qui suivirent, il les passa à gonfler des petits ballons colorés qu'il attacha avec des punaises, à chaque coin du drap. Drap cloué de la même manière au mur au-dessus du canapé, Kyle frotta fièrement ses mains à son jean tâché. De la peinture noire sur les genoux, mais qu'importait. Un appel rauque. Le visage surpris d'Andy s'imposa dans le cadre de la porte. Il hocha la tête, dubitatif, quand Kyle lui exposa son plan ingénieux. Trop génial pour lui, concéda le père adoptif. Il ne serait pas là ce soir là, sa nouvelle compagne lui ayant proposé de dormir dans ses bras. Mais il serait certainement là le lendemain avec des croissants pour savoir comment tout se serait passé.
Sur des roulettes, Kyle en était certain.

Des heures plus tard, la gueule de bois n'était plus qu'un souvenir lointain. Mais l'intervention, elle, occupait la place principale sous les boucles blondes. Une place si imposante qu'il ne vit pas passer la route qui le séparait de Simone. Trouva la belle, toujours aussi éteinte, au point de rendez vous convenu. Il se gara en sucette sur la place réservée aux livraisons, juste devant elle. La vitre côté passager descendit dans un grincement. Il jappa joyeusement, couvrant à peine la musique dégueulée par ses enceintes tunées.

-Oi, Cendrillon ! Ton carrosse est arrivé !

Les fesses encore visées dans son siège, il se tortilla juste assez avec la volonté d'atteindre la poignée de la porte passager du bout des doigts, avant de se raviser. Rien ne le garantissait qu'elle accepte de monter dans la voiture. Alors, il laissa le contact. Sortit et contourna la voiture. Les doigts sur la poignée de la portière passager, il singea toutes les manières de tous ces péteux de portiers qu'on voyait dans les films. Sa main libre décrit une arabesque gracieuse avant de pointer vers l'habitacle du véhicule ronronnant. Affecta un accent aussi prétentieux que possible :

-Si ta Majesté veut bien s'donner la peine de monter dans ma citrouille.

Il l'aurait à l'usure, même si elle n'était pas volontaire. Elle ne pouvait décemment pas le laisser en plan maintenant. Ni l'un ni l'autre n'étaient polis, encore moins envers l'autre, mais ce n'était pas un raison. Il insista légèrement, l'air de lui montrer que de toutes façons, elle n'avait pas réellement le choix. Lui adressa un sourire plein de dents lorsqu'elle finit par le dépasser pour s'installer, et ferma la portière cérémonieusement derrière elle. Deux pas, et il était de nouveau à sa place derrière le volant. Cria par dessus les baffles, avant d'avoir le réflexe de baisser le volume.

-J'espère que t'as rien bouffé, on va s'mettre bien ! Faut juste qu'on fasse un crochet par chez moi histoire de s'transformer en princesses. J'prends la robe rose.

Un clin d'œil joueur, pour détendre l'atmosphère. Simone avait sa tête des mauvais jours. Pas que ça lui pose un problème, au blond. Une fois que le message serait passé, il avait prévu une solution de repli qui ne pourrait que la dérider. Un tour sur les réseaux sociaux avait suffi. Il y avait toujours une soirée pour qui souhaitait en trouver. Et même si Andy avait émis une réserve sur cet aspect de son plan, soumettant que ça risquait peut-être de compromettre le message, Kyle était sûr de lui. Il ne connaissait pas les problèmes de Simone. Mais il était prêt à les connaître. Et après, ils iraient se torcher la gueule.
Une fulgurance, oui. Le moteur rugit, et il mit les gaz de sa citrouille, l'emportant avec Simone là où cette dernière devait être.





What if I'm far from home? Oh brother, I will hear you call, what if I lose it all? oh sister, I will help you out Oh, if the sky comes falling down for you, there's nothing in this world I wouldn't do
Revenir en haut Aller en bas
Simone Byrne
- i'm going to hell anyways -
Simone Byrne
- i'm going to hell anyways -
damné(e) le : o14/02/2022
hurlements : o736
pronom(s) : oshe/her.
cartes : o(av/icons/cs) fürelise (sign/cs) tucker
bougies soufflées : o28
the greatest time of our lives (simone)  Empty

-- the greatest time of our lives ft. @kyle osborn
    Le départ de Layla avait été comme un tremblement de terre dans ses habitudes. La date fatidique était déjà inscrite sur son calendrier, et elle avait prévenu sa tante qu'elle ne serait pas disponible pour l'aider ce soir-là – tout comme le suivant, le temps de se remettre de ses émotions. Elle n'avait pas donné de raison, lui disant seulement qu'elle avait à faire. Larry pourrait la couvrir en cas de besoin, sans qu'elle n'ait trop à se faire de soucis concernant les répercussions. Il ne connaissait pas sa situation, mais avait assez de respect pour elle pour lui faire confiance. Le temps filait et elle n'avait toujours pas trouvé de solution ; qui allait lui venir en aide maintenant que sa protectrice avait mis les voiles ? Elle savait que la situation n'était pas sous contrôle, qu'elle pouvait perdre les pédales et blesser n'importe qui en prenant les faits à la légère. Le soir où elle s'était échappée de ses entraves, elle avait eu de la chance que Kade soit là pour la calmer, Dieu seul savait ce qu'elle aurait fait si elle n'était pas tombée sur lui. L'angoisse ne la quittait jamais, son regard passant de visage en visage se demandant s'ils seraient encore là des jours plus tard, quand elle aurait montré son vrai visage, celui qui hurlait à la lune.
    Elle ne pouvait plus passer autant de temps avec sa communauté. Erin la cherchait partout, inquiète de ne plus la voir si souvent aux côtés de Kyle ; elle le lui avait dit quelques jours en arrière, prétextant qu'elle avait des instructions à lui donner. Bullshit. Elle cherchait seulement une manière supplémentaire de la contrôler, de peur qu'elle ne se rapproche de quelques individus peu recommandables – selon ses termes. Simone n'avait aucune envie de lui donner satisfaction, mais elle finirait par lui abandonner quelques informations après la première nuit ; avant cela, elle voulait voir comment se dérouleraient les heures les plus difficiles du processus.

    Les dernières heures s'étaient écoulées dans le nouveau domaine de Zach, là où elle passait le plus clair de son temps pour ne pas être emmerdée. Trevor et Spencer étaient absents et Zach ne serait pas là avant quelque temps, s'il finissait par se montrer. Le regard fixé au plafond, allongée sur le canapé du salon, elle faisait la liste de ses connaissances dans l'esprit de trouver un esprit assez magnanime pour lui venir en tête. La première personne à qui elle pensa fut Dita, la matriarche, mais elle ne s'en sentait pas assez proche pour lui demander un service pareil. Au fond, qui l'était ? Les seuls à avoir une place aussi privilégiée dans le cœur de la jeune femme étaient les frères à problèmes, mais elle ne voulait pas révéler cette part d'elle-même, de peur de les repousser. Elle ne pouvait pas perdre cette nouvelle famille, jamais elle ne s'en relèverait. Si seulement son père était encore là ; lui aurait su que faire, l'aurait accompagnée dans chacune de ses démarches, sans jamais la juger.

    Un bip retint son attention, lui fit dévier le regard d'un air interrogateur. Il fut suivi de quelques autres, indiquant qu'elle venait de recevoir des messages ; s'ils venaient d'Erin, elle pensait jeter son portable dans les toilettes et tirer la chasse. Toujours allongée, elle se tortilla pour sortir l'appareil de la poche arrière de son jean, et regarda l'écran, les sourcils froncés. Kyle. Elle poussa un long et profond soupir. Il lui était aisé de ne pas parler de ses problèmes à Zach, puisqu'elle ne le croisait que peu, même en vivant chez lui. Les choses étaient différentes concernant son frère ; comment prendre ses distances sans en avoir l'air ? Elle avait refusé tant d'invitations de sa part, dans des soirées auxquelles elle aurait, pourtant, adoré assister. Une invitation supplémentaire brillait sur son écran, et l'hésitation l'envahit un instant. Est-ce qu'elle pouvait se permettre de faire la morte ? Il finirait par trouver ça étrange, poserait peut-être des questions, et Simone ne se sentait pas de lui fournir de réponse. Elle fixa l'écran un moment avant de soupirer, décidée à lui accorder une soirée avant de disparaître pour le bien de tous ; en attendant de trouver une solution.

    Elle se contenta de répondre qu'elle serait de la partie, un court message, à l'image du silence qu'elle gardait depuis quelques semaines déjà. Le cul levé du canapé, elle partit dans la chambre de Zach pour y dormir quelques heures, afin d'être en forme pour surveiller ses paroles le soir venu. Lorsqu'elle se réveilla, le monde était toujours le même et aucun problème n'avait été réglé par miracle. Layla partait toujours, elle se retrouvait toujours seule pour cet épisode qu'elle redoutait tant. Elle se passa une main sur le visage, puis se fit une raison ; elle devait se débrouiller seule, baratiner son monde, et essayer de ne tuer personne. Facile. L'envie lui avait pris, quelques soirs en arrière, d'informer Trevor de sa situation ; pour une raison inconnue, elle sentait qu'il pouvait la comprendre, et même l'aider. Mais c'était trop tôt dans leur relation pour qu'elle puisse se le permettre, elle devait y réfléchir plus longtemps afin de ne pas porter préjudice à Zach.
    Le sac à dos sur son épaule, elle quitta l'appartement pour reoindre le point de rendez-vous habituel. Elle n'avait apporté rien d'important avec elle, tout le nécessaire pour se faire une beauté avant la soirée étant déjà chez Andy. Elle se posa dans un coin, se retenant de griller une cigarette, et leva la tête vers la voiture qui débarquait déjà près d'elle. Elle la reconnut aussitôt, remarqua le conducteur alors qu'il ouvrait la vitre en lui faisant signe d'entrer. Elle fit claquer sa langue en le voyant jouer le portier, ne put s'empêcher de sourire, amusé, en lâchant un tendre : « — Merci, idiot. » L'affection dans cette insulte qui n'en était pas une, afin de lui montrer que tout allait bien. En temps normal, elle serait rentrée dans son jeu, aurait mimé les manières d'une princesse en usant de termes soutenus. Peut-être même l'aurait-elle qualifié de prince, trop bon pour être son simple serviteur ; mais elle n'était pas dans son état normal, rien de son quotidien actuel n'était normal.

    Elle resta silencieuse tout le trajet ; d'une main vive, elle avait remonté le son de l'autoradio afin de dissuader Kyle de trop parler. Elle savait que cela ne suffirait pas, bien sûr, mais il se fatiguerait si elle l'ignorait trop. Elle se massa le front pour lui faire signe qu'elle était fatiguée, et posa sa tempe contre la vitre le reste du temps, attendant qu'ils soient arrivés pour se faire belle, mettre un masque, et faire semblant le reste de la soirée. Lorsqu'ils arrivèrent chez Andy, elle entra en faisant comme chez elle, comme toujours. « — C'est quoi ton plan pour ce soir ? T'as vérifié qu'ils étaient pas végétariens ? J'me mets pas en bombasse pour manger des graines, hein. » Elle retira ses baskets dans l'entrée, abandonna son sac à dos juste à côté et commença à évoluer dans la maison. « — Tu sais où elle est ma robe noire d'ailleurs ? » Elle entra dans le salon pour vérifier si Andy était présent, soucieuse de le saluer, mais ne tomba pas sur lui. À la place, elle tomba nez à nez avec une scène très étrange ; un drap en guise de pancarte, des ballons, une sorte de fête, mais où personne n'était convié. « — Une nouvelle technique pour faire réagir Zach ? Tu devrais plutôt lui parler chez lui, non ? » Elle l'interrogea du regard, ne se doutant pas que l'installation n'était pas pour le frère, mais pour elle.



COME OUT AND HAUNT ME
you leapt from crumbling bridges, watching cityscapes turn to dust, filming helicopters crashing in the ocean. from way above.
Revenir en haut Aller en bas
 
the greatest time of our lives (simone)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Blame it on the girls | Simone
» kyle osborn & simone byrne (sms)
» simone byrne & zachary madden (sms)
» Saera Kwon ~I don't live in darkness, Darkness lives in me
» about time

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
flw :: exeter :: wellhollow-
Sauter vers:  
<