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 australopithecus would really have been sick of us (ravi)

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Victoria Sullivan
- the beaten and the damned -
Victoria Sullivan
- the beaten and the damned -
damné(e) le : o12/12/2023
hurlements : o432
pronom(s) : oelle/iel
cartes : ofassylover
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Son oncle Donnie faisait partie de cette très petite catégorie de personnes qui chérissait ses biens matériels plus que tout. Rentrer dans le petit mobile-home des Bartlett, c’était comme remonter le temps ; la plupart de leurs électro-ménagers dataient des années 80 ou 90 et étaient toujours en parfait état de marche.

Lorsque Vicky avait quitté la demeure familiale pour s’installer dans son minuscule studio, Donnie avait insisté pour qu’elle embarque avec elle une petite radio dont l’apparence vintage aurait fait pâlir plus d’un influenceur. Vicky n’ayant pas conscience de ce genre de chose, elle n’avait pas non plus pensé à aller voir à combien était estimé le bien en 2024, et elle s’était contenté de le chérir à son tour.

Le poste radio était allumé tous les jours, quasiment sans exception, toujours à l’heure du déjeuner. La fréquence était réglée pour une petite chaine locale qui passait de la country à toute heure du jour ou de la nuit, des airs qui rendaient Victoria nostalgique du trailer park. Un jour, cependant, alors qu’elle finissait d’engloutir un sandwich au salami, la fréquence sauta. C’était la première fois que cela arrivait. Surprise, mais pas contrariée, la jeune-fille s’était levée pour aller régler la fréquence, supposant que cela devait arriver de temps en temps.

La main sur la roulette qui permettait de régler la chaîne, Vic suspend son geste. La bande indiquant la fréquence bouge toute seule. L’aiguille rouge qui servait de repère indiquait des chiffre sans queue ni tête. Qu’était-on supposé faire lorsqu’un poste radio des années 80 tombait en panne ? Victoria n’en savait rien. A court de solutions, Victoria se contenta d’éteindre la radio dans une moue déçue.

La vie était bien faite. Deux jours plus tard, Victoria tomba par hasard sur une affichette dans un abribus. Elle ne prit pas vraiment le temps de lire chaque mot inscrit. Tout ce qu’elle savait, c’est que ce gars, un universitaire du nom de … elle avait pas retenu, c’était un nom un peu bizarre, mais il cherchait des appareils défectueux. Pour quoi faire ? Elle en savait rien. Elle ne fréquentait pas beaucoup d’universitaire, sinon son cousin. En revanche, il y avait peut-être moyen qu’elle demande à monsieur … Saraji ? Pour le réparer. C’était ainsi qu’elle s’était retrouvée, un début d’après-midi, à se trimballer son poste radio dans les couloirs d’une université dont elle n’avait jamais franchi la porte auparavant.

Bien sûr, elle avait dû demander son chemin à plusieurs reprises. Il fallait généralement qu’elle donne davantage d’explications sur la personne qu’elle cherchait pour qu’on puisse lui indiquer la route. Cela ne suffit d’ailleurs pas, puis qu’elle finit dans un bâtiment à l’abandon. Zut. Fatiguée par sa recherche, Victoria posa le poste radio sur une table encombrée de plein de machines un peu étranges. Elle leur jeta un rapide coup d’oeil avant d’entendre du bruit un peu plus loin. Parfait, de la vie ! Voilà qui était inespéré ! « Excusez-moi, monsieur ? Bonjour, pardon vraiment de vous déranger mais je suis à la recherche de quelqu’un de l’université qui demande à voir des appareils qui ne fonctionnent plus, mais je me suis perdue » indiqua-t-elle à l’individu qu’elle trouva attablé à un bureau. Peut-être qu’elle ne s’était pas trompée finalement ? Naaaaan forcément ça devait être … quelqu’un d’autre, que personne n’aimait et qu’on avait décidé de mettre à l’écart de tout le monde.

Pas très sympa si c’était le cas.

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Ravi Sorabji
- stare into these eyes if you dare -
Ravi Sorabji
- stare into these eyes if you dare -
damné(e) le : o07/12/2023
hurlements : o155
cartes : oRenegade
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Situé dans un bâtiment annexe de l’université le bureau attribué à Ravi par le laboratoire de parapsychologie d’Exeter était si petit et mal équipé qu’il n’aurait pas été difficile de le prendre pour le concierge. Qu’il y ai divers appareils électriques et des câbles un peu partout n’aurait pas été  contre cette interprétation, certains allant parfois un peu plus loin que leur mission ordinaire d’ouvrir et fermer des portes. Il était en train de lire un ouvrage nommé “Les procès d’Exeter 1686-1701”, un pavé académique racontant une période durant laquelle une soixantaine de personne trouvèrent la mort dans des accusations en sorcellerie. En dehors du cas de savants persécutes par l’église  les procès de ce type ne l’avaient jamais intéressé mais pour la première fois il avait emprunté ce genre de livre à la bibliothèque de l’université. Non pas qu’il intéressait aux croyances de ceux qui brûlaient et semblaient d’ailleurs parfois bien innocents, mais il voulait savoir dans quoi baignait cette ville depuis des siècles. Pour lui ce qu’il se passait aujourd’hui était la suite directe d’un passé lourd et de conflits réglés dans les flammes à grand coup d’arguments fallacieux et accusations mensongères. Parce qu’ils n’avaient jamais compris qui ils avaient brûlé et pourquoi ils n’en avaient jamais fini avec leurs croyances.

Le livre se referma à l’entrée de la jeune femme qui transportait  avec elle la radio de Mathusalem. Le regard de Ravi ne montât pas jusqu’aux yeux de celle ci et il regarda a peine son visage, un réflexe qu’il avait pris plus vite qu’il n’aurait voulu. Les explications de celle ci quand à sa venue dans son bureau le laissa perplexe. “Euh…je ne vois pas de qui vous parlez…”Quelqu’un qui demande à voir des appareils?  Il se leva de sa chaise tout de même, ce n’étais pas comme s’il avait souvent de la visite ici il faut dire. Autant ne pas passer pour l’ours figé  au fond de sa caverne tapissée d’appareils bizarres.  “Vous cherchez un réparateur?” Il ne comprenait pas vraiment de quoi elle parlait et surtout ce que ferait un professionnel de ce type ici.

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Victoria Sullivan
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Victoria Sullivan
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damné(e) le : o12/12/2023
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Le type était en train de lire. Était-ce une activité d'universitaire ? Peut-être. Peut-être pas. Après tout, plein de gens lisaient. Et Victoria ne connaissait aucun universitaire à l'exception de son cousin. Son cousin lisait beaucoup, certes, mais surtout des comics. Et parfois des gros livres, mais jamais sans beaucoup râler et souffler. En tout cas, le type se leva. Il n'avait pas l'air beaucoup plus au courant qu'elle. Il était un peu étrange le monsieur. Là, debout, il avait le regard fuyant. Étrange. Vicky était ce genre de personne qui vous regardait toujours dans les yeux. Ainsi, très naturellement, elle chercha au moins à pouvoir avoir une vue d'ensemble du visage. Tâche plus difficile qu'à l'accoutumée. Peut-être qu'il était juste timide ? « Euh, je pense pas que ce soit un réparateur ? » qu'elle répondit en haussant un sourcil « Enfin, peut-être, c'est un gars qui a accroché des affiches pour dire qu'il cherchait des appareils cassés. Après, je sais pas ce qu'il compte en faire. » Elle n'était pas vraiment du genre à se poser des questions. Elle avait plutôt tendance à vivre au présent, à avancer dans sa vie en improvisant d'une situation à l'autre. En l'occurence, elle avait une radio buguée, et quelqu'un cherchait des appareils défectueux. Elle ne s'était pas interrogée longtemps et s'était contentée de supposer que ce devait être un signe du destin.

Le gars ne l'avait toujours pas regardé dans les yeux. Impoli. Ou alors peut-être qu'il avait un problème oculaire ? Sans même s'en rendre compte, Victoria pencha la tête sur le côté, essayant de capter ne serait-ce que l'ombre d'un regard. Rien. Par contre, dans sa manoeuvre, elle remarqua la couverture du livre qu'était en train de lire l'inconnu. « Eh les sorcières d'Exeter, excellent ! » qu'elle s'écrie, oubliant un instant la vieille radio et les regards fuyants. « Paraît que j'ai plusieurs ancêtres qui ont été brûlées au cours des procès » c'était, en vérité, le cas d'une grosse partie de la population originaire d'Exeter. Si on remontait l'arbre généalogique de Victoria cependant, on pouvait cependant, effectivement, tomber sur plusieurs femmes qui avait péri sur des bûchers pour cause de sorcellerie « Enfin, d'après ma tante. Je suis pas très branchée histoire, je vous avoue. Mais elle me racontait leurs histoires quand j'étais petite. Elle disait qu'un jour j'en aurais sûrement besoin. J'sais pas trop pourquoi mais en tout cas, j'adorais ces récits ! » Peut-être qu'elle en aurait justement besoin pour un jour comme celui-ci où, perdue dans le dédale de l'université, elle se retrouve à discuter avec un inconnu au sujet d'une vieilles radios et de sorcières qui n'intéressent plus personne sinon quelques illuminés.

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Ravi Sorabji
- stare into these eyes if you dare -
Ravi Sorabji
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Après quelques secondes à demeurer figé il posa finalement sa main droite sur ses yeux pour masser ses paupières. Des affiches?...Ah oui! Sortant de son introspection le nouvel arrivant en ville commença à sourire légèrement, bien malgré lui. “Excusez-moi c’est une méprise. C’est bien moi qui cherche à voir les appareils oui.” Enfin pas que cela, il  voulait non seulement les voir mais aussi les endroits où ils étaient tombés en panne. Approchant la main de la radio il releva légèrement le visage pour voir un peu de celui de son interlocutrice, faisant s’arrêter ses yeux juste avant qu’ils ne croisent les siens. “Je peux y regarder?” A défaut de la regarder vraiment elle.

Elle changea de sujet quand elle aperçu le livre qu’il avait laissé sur son bureau, livre qu’il regrettât aussitôt de ne pas avoir caché dans un tiroir à l’entrée de la visiteuse dans la pièce. Non mais imaginez deux secondes qu’un confrère vienne le visiter pour prendre de ses nouvelles? Il le trouverait dans ce bureau minuscule au fond d’une université mal dotée, en train de lire des livres sur les sorcières. La déchéance, on a vu des  réputations flinguées pour moins que çà dans le milieu. "Heureusement" ses collegues ne prennent jamais de ses nouvelles.

“Oh vraiment?” Des ancêtres brûlées? Est ce que çà l’étonne étant donné ce qu’il a lu. “Votre famille doit être ici depuis longtemps alors.” Il s’approcha d’un bureau reconverti en établi où se trouvaient tous les outils nécessaire à l’entretien de ses appareils de mesure et chercha parmi les tournevis l’élu de son cœur. “Votre panne est arrivée comment?” Il n’imagine pas une seconde qu’elle pourrait être due à autre chose qu’une de ces anomalies électromagnétique qui était la cause de sa venue ici car bien qu’il ne parvienne jamais à en observer il ne baisse pas encore les bras d’y parvenir un jour.

Parce qu’ils avaient jusque là réussi a alterner entre deux sujets dans leur conversation il la relança au sujet des sorcières locales. “Vous aimez vraiment  les récits d’innocents qui se font brûler par des bigots dans des parodies de procès?” Tout cela le dépassait. Heureusement au fil des siècles le ressentiment diminue et il ne doit plus rester de ces affaires que des bouquins écrits par des historiens ou des histoires de vieille tante.

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Victoria Sullivan
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Victoria Sullivan
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C'était pas sa faute si elle avait la capacité d'attention d'un Golden Retriever. Ses professeurs s'en étaient beaucoup plaints du temps où elle allait à l'école. C'était d'ailleurs pour ça qu'elle avait voulu arrêter l'école seize ans. A l'époque, elle voyait pas l'intérêt. L'école, ça permettait pas de gagner de l'argent. Mais Ruth avait refusé. Pour les femmes, disait-elle, c'était encore plus important que pour les hommes de finir l'école. Aujourd'hui, Victoria comprenait mieux ce qu'elle voulait dire. Avec le recul, elle aurait même aimé aller un peu plus loin. On ne l'y avait pas encouragé. Et maintenant c'était trop tard. "Oui oui bien sûr allez-y" lui répond-elle distraitement tout en se saisissant du livre pour en lire la quatrième de couverture "Par contre faites attention s'il vous plait" on dirait presque qu'elle sursaute, comme si elle revenait subitement à elle "c'est à mon oncle, j'y tiens beaucoup, si vous pouviez ne pas l'abîmer ça m'arrangerait" Car si le plan, c'était de démonter l'engin pour constater qu'il ne savait pas comment le remonter, vraiment, il pouvait tout autant s'abstenir.

Lorsqu'il l'interroge sur sa famille (même si cela ressemblait davantage à de la politesse), Vicky prend le temps de réfléchir. Oui, ça faisait un moment que sa famille vivait à Exeter. Elle ne s'était jamais réellement interrogée sur le nombre de siècles qui s'étaient écoulé entre les années 1600 et le présent. Maintenant qu'elle y réfléchissait, cela donnait un peu le tournis. "Honnêtement, je pourrais pas vous dire. Enfin, si, moi on m'a toujours dit que ma famille était originaire d'Exeter, qu'on a toujours vécu ici. Mais 'toujours' ça peut avoir bien des significations. Déjà, on est blanc, donc on peut pas avoir toujours vécu ici. Mais peut-être bien depuis que la ville s'appelle comme ça." De toute façon, elle, elle se contentait de répéter les histoires qu'on lui avait racontées. Elle cherchait pas beaucoup plus loin. Pas plus qu'elle avait cherché à connaître autre chose qu'Exeter. Pourquoi l'aurait-elle fait ? Ses racines s'enfonçaient si profondément dans la terre qu'elle ne s'imaginait pas vivre ailleurs. Encore moins si cela impliquait de laisser sa famille.

"Bah, je l'allume toujours sur la même fréquence à l'heure du déjeuner, mais l'autre jour, la fréquence a sauté. Y a eu plein de grésillements, quelques mots chelous qu'elle devait capter sur d'autres chaînes, du coup j'ai voulu re-régler la fréquence normalement. Mais c'était comme si l'aiguille était devenu folle. Genre les fréquences bougeaient toutes seules, hyper rapidement. Du coup je l'ai éteint en espérant trouver une solution." Racontant sa petite histoire, Vicky s'était rapprochée du poste radio. Elle l'observait avec un mélange de tristesse et de nostalgie "Vous pensez qu'elle refonctionera un jour ?" c'était une vieillerie, un bien digne d'être exposé chez un antiquaire, mais elle y tenait à sa petite radio après tout. Enfin. Petite. Façon de parler, bien sûr. Heureusement que ses idées retournèrent bien vite sur l'histoire des Sorcières d'Exeter, puisqu'on l'accusait à présent d'aimer les histoires des gens qui se font brûler. Vraiment étrange le gars. Et vraiment très malpoli. "Alors. Déjà, formulé comme ça, c'est pas très aimable. Ensuite, l'issue des procès a été tragique. C'est indéniable. C'est pas ça que j'aimais dans les histoires dans ma tante. Moi j'aimais quand elle me racontait les histoires de ces femmes, et des femmes de ma famille, sorcières ou non, médiums ou non, mais qui étaient toutes exceptionnelles, peu importe comment elles sont mortes. Enfin, ce n'est pas moi qui lit des livres sur des innocents brûlés par des bigots au cours de parodie de procès. Mais je me permettrais pas de vous trouver morbide pour autant." Enfin, maintenant, si.

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Ravi Sorabji
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Ravi Sorabji
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Elle tenait à ce poste, celui de son oncle selon elle. "Ok" Il commençait a dévisser le bottier de l’appareil, trouvant à l'occasion une bonne raison d’avoir les yeux braqués sur quelque chose d’autre que ceux de son interlocutrice qui avait l’air avenante. Elle ne faisait pas l’erreur commune de l’américain moyen de croire qu’ils ont toujours été chez eux déjà, et cela fit hausser un sourcil à Ravi qui enlevait déjà une vis. Tiens. A son apparence et sa manière de parler il n’aurait pas cru entendre çà...

Il écoutant ensuite la jeune femme lui décrire les circonstances de l’accident et au moins elles avaient pour mérite d’éliminer la piste de la panne bête et méchante. “L’aiguille bougeait toute seule hein?” Il a du mal à le croire. Sur ce genre de transistor il faut modifier manuellement la fréquence en tournant une molette, s’il y avait bien un type d’appareil qui ne pouvait pas bouger de fréquence à cause d’un “bug” c’était bien ce genre de vieux engins. Est ce qu’il fonctionnera à nouveau? “On va voir çà…” Il avait le ton suspicieux comme s’il avait enlevé le filtre que ceux qui le connaissaient lui avait toujours connu. Après avoir parlé des sorcières elle lui sortit la tête de son poste radio en lui faisant remarquer qu’il n’était pas très aimable.

Il se figea en fermant les yeux puis posa son tournevis sur la table en soufflant un grand coup. Puis il les rouvre doucement en reprenant une bonne bouffée d'air. “Excusez-moi je suis un peu fatigué”. La bonne excuse. Tout le monde avait des raisons d’être fatigué non? Et plus que des explications il devait un signe qu’il n’était pas ce gars désagréable qui bossait dans un quasi placard au fond de l’université. Enfin pas que çà en tout cas. Il sourit un peu péniblement, conscient que quoi qu’il fasse çà ne sera pas assez parce qu’il refuse que leurs yeux se croisent et c'est impoli. Il a bien eu le temps de se rendre compte d’a quel point ce qui le touchait le coupait du monde et jamais il n’aurait cru que c’était si important dans les relations interpersonnelles auparavant. Il faudra faire quelque chose, vivement l’été où la convention sociale lui permettrait de déambuler avec des lunettes de soleil.

“C’est bien d’avoir quelqu’un comme votre tante pour vous raconter le destin de ces femmes. Mes parents ne me parlent jamais des leurs en inde.” Pourquoi il n’en savait rien, peut être cela avait il été trop douloureux de devoir partir en les laissant là bas. Parce qu’il ne veux pas les voir triste lui et ses frères et sœurs ont pris l’habitude de ne jamais leur poser de questions à ce sujet. Il avait terminé le démontage de l’appareil et mesurait désormais l’intensité des circuit. “Pour qu’il ne subisse plus d’interférences il faudrait presque lui monter une parabole.” Ce qui rendrait vraiment bizarre sur un appareil comme celui là. “Je peux en fabriquer une si vous voulez” Fallait il qu’il ai du temps à tuer... “ Vous avez déjà eu ce genre de problèmes là où vous vivez? Des interférences comme celles qui ont touché la ville depuis quelques mois?”

Il repense au fait qu’elle ai mentionné les femmes sorcières ou médium que sa famille a comptée par le passé et se demande ce qu’il pourra bien entendre de sa part.

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