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 the end of the world (lenny)

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Dick Lockheart
- the beaten and the damned -
Dick Lockheart
- the beaten and the damned -
damné(e) le : o06/05/2022
hurlements : o44
pronom(s) : oelle
cartes : ofürelise (ava) elorin (sign) horizons into battlegrounds, woodkid (song) alcara (icon) tucker & fürelise (crackships profil)
bougies soufflées : o45
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the end of the world -


Dick Lockheart n’est pas d’une nature très expressive. Enfant, on le lui disait souvent. Alors que le monde s’agitait autour d’elle, les cris et les rires, elle restait calme et observait les scènes, souvent spectatrice avant d’en être actrice. Même à ses propres anniversaires. Elle se souvient des disputes entre les adultes de sa vie, ceux qui disaient qu’il fallait la laisser ainsi, ceux qui s’inquiétaient, qu’elle manquait peut-être d’empathie.

Lorsqu’elle a été assez grande pour comprendre ce qui se tramait dans les murmures des adultes, Dick s’est tout de suite demandé pourquoi on ne lui avait jamais directement posé la question ? Pourquoi, plutôt que d’émettre des millions d’hypothèses sur ce qu’elle pouvait ressentir et percevoir, on ne lui avait pas simplement demandé. Question qu’elle n’avait elle-même jamais osé poser. Se prêtant au jeu trop établi des non-dits.

Tout ça était acquis, une vérité immuable. Du moins, jusqu’à ce qu’elle rencontre Ari. La jeune femme toujours composée, mystérieuse et un peu à part avait trouvé en ce garçon aux cheveux ébouriffés une nouvelle vérité. Une vérité moins lisse, moins parfaite. Une vérité qui la laissait s’échouer de temps en temps, la laissait dire, expliquer et comprendre.

Évidemment, le temps a fait les choses, l’enfant est devenu adulte et la vie a pris d’autres couleurs. Si Dick n’a jamais voulu devenir comme les adultes de sa vie d’enfant, il fallait admettre que depuis sa séparation avec Ari, elle n’avait pas vu le virage qu’elle avait pris. Pour se protéger sans doute, parce que celui qui rendait la vérité aussi simple s’était un peu éloigné.

Depuis sa venue à Exeter, depuis les nouveaux repères dans sa vie, la sheriff n’avait pas encore retrouvé cette facilité qu’Ari lui avait apprise pendant des années. Elle entendait, souvent, dans les couloirs les murmures. Les mêmes que durant son enfance. Elle était mystérieuse, difficile de savoir ce qu’elle avait dans la tête. Difficile de cerner la nouvelle venue.

Le premier à en avoir fait les frais n’était autre que Lenny Myers. Les circonstances de leur rencontre n’avait rien arrangé à la confusion du subordonné. Il leur avait fallu du temps, à Dick et Lenny pour se comprendre vraiment. Et pour Lockheart, le problème était réglé depuis des mois maintenant.

Elle avait beaucoup d’affection pour Myers et elle le lui avait fait savoir. Elle lui avait fait comprendre que lorsqu’elle tenait à quelqu’un, elle avait beaucoup de mal à accepter qu’il se mette en danger. Peu importe leur métier et ses risques, elle savait faire la différence entre la réalité et l'insouciance. Leur relation s’était retrouvée plus d’une fois entachée par leur vision respective de ce sujet. Dick n’en démordait pas et l’inconscient restait dans sa réalité.

Pourtant, depuis un moment maintenant, Dick pensait que Lenny avait compris. Compris ce qu’elle cherchait difficilement à lui dire, compris l’importance de sa vie dans la sienne, dans celle d’Ari. Compris à quel point il ne pouvait pas jouer comme ça, au risque de briser plusieurs vies en même temps que la sienne.

C’est sans doute pour ça que la nouvelle la laisse à fixer la porte de son bureau durant de longues secondes. « Sheriff ? You here ? » qu’elle entend difficilement au bout du fil. Dick se ressaisit en répondant par automatisme avant de raccrocher.

Tirer dessus.
Il s’est fait tirer dessus.

La colère ne monte pas alors que la brune passe délicatement une main sur son visage. Sait d’avance combien il aura des millions de raisons valables et cherchera à se justifier à la seconde où ils se verront. Alors elle décide, pour la première fois, de ne pas aller le voir.

Durant des jours, Dick ne prend pas de nouvelle du blessé, elle ne s’avance pas à l’hôpital. Pendant des jours, elle continue à vivre comme si de rien n’était. Lorsqu’on lui annonce qu’il est sorti de l’hôpital, elle hoche la tête. Lorsqu’elle lit les rapports établis par les uns ou les autres, elle laisse un sourire un peu tendre s’échapper. Rien de plus, rien de moins.

Il faut deux semaines à la sheriff pour se rendre chez Myers. Deux longues semaines. Junior laisse sa truffe profiter des rues d’Exeter avec son pelage de nuage alors qu’elle traverse les rues jusqu’à atteindre son but.

Plantée devant la porte, elle reste là quelques instants sans bouger, sans un mot. Le chien assis sagement à ses côtés relève les oreilles vers sa maîtresse, se demandant ce qu’elle peut bien attendre. Elle finit par lever une main et frapper.

La porte s’ouvre pour laisser place au blessé et Dick le regarde droit dans les yeux en lançant « Hi, Lenny. I’m here to drop some paperwork, again. » Elle n’est pas froide, pas en colère, pas triste. Non, comme à ses vieilles habitudes, elle est composée. Dick tourne sa main vers son sac alors que son chien s’avance vers l’homme qu’il n’a pas vu depuis un moment, beaucoup plus à même de montrer sa joie que sa maîtresse. Elle le laisse faire sans y prêter attention, sans avancer d’un pas non plus alors qu’elle arrive à poser ses doigts sur le dossier et reprend, sans même avoir retrouvé le regard du sergent « You know how it works. You can call me if you need some help. I need to have it back by thursday. I’ll drop by, don’t worry. »

S’il n’avait pas compris à quel point elle pouvait s'inquiéter, à quel point elle voulait juste qu’il aille bien, pour lui, pour Ari, pour Gadget, elle ne pouvait plus rien faire. Et Dick, lorsqu’elle ne pouvait plus rien faire, ne faisait plus rien. Parce qu’elle n’avait plus la force.

Si un seul adulte lui avait demandé, si elle ressentait alors seulement elle aurait pu expliquer que c’était parce qu’elle ressentait trop, qu’elle tentait de survivre en s’éloignant. La preuve, dès qu’elle laisse quelqu’un s’approcher, elle n’arrive plus à le protéger.

Ari en avait fait les frais et Lenny, malgré ses efforts, était tout sauf épargné.

Elle ne serait jamais assez, qu’importe combien elle pouvait hurler ce qu’elle ressentait.




HOLD ON
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Lenny Myers
- responsable à jardiland -
Lenny Myers
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damné(e) le : o07/04/2022
hurlements : o1634
pronom(s) : oshe/her.
cartes : o(av/cs/icons) fürelise (sign/cs/gif) tucker.
bougies soufflées : o32
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-- the end of the world ft. @dick lockheart
    L'incident datait de deux semaines déjà, pourtant, la douleur était toujours présente au moindre de ses mouvements. Il avait pu échapper à l'entraînement d'Enoch jusqu'ici, sa blessure étant trop grave pour qu'il puisse s'y remettre ; mais le barman l'y forcerait bientôt, il en était sûr, viendrait le chercher pour faire sa rééducation. Il lui fallait profiter du calme avant que la tempête ne l'emporte dans l'effort. Ari avait voulu le garder chez lui, chez eux, mais le sergent avait insisté pour retrouver son appartement. L'idée de dépendre de son fiancé ne lui plaisait pas, il ne voulait pas devenir un poids pour lui. Le mieux était de rester dans son coin en attendant que tout aille mieux ; le légiste pourrait le rejoindre après le travail. L'envie d'établir son domicile dans la maison d'Ari était présente, et ce dernier lui montrait qu'il n'était pas contre l'idée, mais Lenny devait d'abord se remettre sur pied avant tout. Jenna était absente, il avait donc l'appartement pour lui seul. Il pouvait se plaindre, serrer les dents, les mains parfois tremblantes de sentir que la douleur refaisait surface. De temps en temps, il avait peur qu'une des réactions de son corps ne soit pas normale, qu'il soit en train de faire une riposte contre certains antidouleurs. Il appelait parfois Ari, juste pour être rassuré, entendre sa voix.

    Il ne voyait pas grand monde en dehors de son fiancé. Devlin était passé, lui avait refilé des herbes pour atténuer la douleur, ainsi que des dessins de Millie qu'elle avait fait spécialement pour lui. Il les avait, de suite, accrochés au frigo, très fier des œuvres d'art de sa filleule. Boaz passait également, lui tenait compagnie quand le temps devenait trop long ; il n'avait pas osé lui parler précisément de l'attaque, avait eu trop peur que son ami n'essaie de retrouver le coupable, et ne fasse une bêtise. Mais l'avoir près de lui lui faisait du bien, l'aidait à luter contre ses angoisses. Heureusement qu'ils étaient là, tous ; mais une personne manquait à l'appel depuis l'incident. Dick n'était toujours pas passée. Ni chez lui, ni à l'hôpital, n'avait pas même passé de coup de fil. Il avait beau ne pas l'admettre, il l'avait mal pris, s'était senti abandonné non seulement par sa supérieure, mais pire encore, pas son amie.
    Il n'en avait parlé à personne, n'aimait pas se plaindre quand il n'était pas seul à supporter ses jérémiades. Il avait peur qu'elle ne lui en veuille, lui qui avait tout fait ces derniers temps pour être consciencieux, et bien plus prudent, comme il le lui avait promis. Il n'aimait pas ce coup du hasard qui l'avait placé devant l'arme chargée, pas alors qu'il n'avait rien à se reprocher. Dick le savait-elle ? Peut-être que Lenny se faisait du souci pour rien, peut-être qu'elle était seulement trop occupée pour songer à lui passer un appel, ou prendre de ses nouvelles. L'idée lui était pourtant difficile à avaler, sa phobie faisant trop rapidement surface lorsqu'il y pensait.

    Alors, en entendant frapper à sa porte, il ne s'attendait pas à la voir apparaître. La porte ouverte, il avait masqué son expression de surprise pour se contenter d'un sourire, réellement heureux de la voir. Les lèvres ouvertes, il n'eut pas le temps de la saluer qu'une boule blanche se jetait déjà sur lui. Baissé, il fit disparaître ses mains dans la fourrure de Junior en lui montrant combien il lui avait manqué. Il rit en le sentant gratter contre son épaule, sûrement soucieux de vérifier son état. Il finit par déposer un baiser sur le haut de sa tête en riant. Il se releva ensuite en hochant la tête pour dire qu'il comprenait, qu'il remplirait les documents le plus rapidement possible. Il attrapa le dossier, puis s'écarta de la porte en lui faisant signe d'entrer : « — Do you have any time for coffee? » Il plaqua les documents contre son propre torse, comme un écolier attendant le début de l'école. Gadget dormait dans un coin, il aurait le plaisir de pouvoir s'amuser un peu avec Junior. « — It's been a while. » Il sourit de nouveau, timidement, espérant avoir l'occasion de lui parler, de comprendre pourquoi elle avait gardé le silence si longtemps.



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Dick n’était pas quelqu’un qui étalait ses sentiments. Il y avait d’ailleurs très peu de personnes qui arrivaient à lui faire dire ce qu’elle ressentait vraiment. Elle mentirait si elle disait que ça n’avait pas fait une différence d’avoir ces personnes là. Ceux à qui elle pouvait tout dire sans avoir l’impression d’être de trop, de mal faire ou pire encore, d’être jugée. Évidemment, la vie étant ce qu’elle est, et Dick étant comme elle est, elle ne prenait pas toujours le temps d’aller vers ces gens-là, même quand elle en avait besoin.

Cependant cette fois c’était un peu différent. Son filet de sécurité était Ari, depuis trop d’années pour les compter. Le problème c’est qu’aujourd’hui, Dick n’était pas sûre de pouvoir lui dire ce qu’elle ressentait vraiment. Pas sûre de pouvoir lui parler de ses états d’âme sans être jugée. Parce qu’il s’agissait de Lenny et que la brune en avait conscience, son âme sœur avait offert son cœur à l’homme. D’ailleurs, au-delà du jugement, elle se refusait de risquer de se mettre entre eux. Dick était bien trop heureuse pour celui pour qui elle donnerait sa vie. Lenny était quelqu’un de bien et mieux que ça encore, ils étaient faits l’un pour l’autre. Cela ne fait aucun doute pour la sheriff. Alors hors de question de risquer d’abîmer ce lien si précieux qui les unit. Tant pis si ça veut dire devoir vivre seule dans sa tête.

Tant pis si ça veut dire qu’il n’y a plus personne pour l’écouter et la rassurer.

Le chien nuage accueille l’homme avec toute sa tendresse et son innocence. C’est peut-être pour ça qu’elle l’a amené avec elle : elle savait que Junior serait toujours là pour lui rappeler la beauté du monde. Elle esquisse un sourire à la relation du sergent et de son chien. L’espace d’un instant, elle en oublie presque tout ce qui lui serre la gorge depuis ces quinze derniers jours.

Mais la vie la rappelle à l’ordre et ses pensées intrusives reprennent leur place. Alors elle a ce réflexe de retrait, donner les informations et s’en aller. Ne plus chercher, ne pas s’enfoncer plus loin dans les lames. Elle n’a pas trouvé de solution, elle n’a aucune réponse alors à quoi bon ?

Malheureusement pour elle, lorsque l’homme récupère le dossier, il s’écarte pour l’inviter à rentrer. Les yeux bruns le fixent avec tendresse tandis qu’il lui demande si elle a du temps. La réponse est toute faite, prévue depuis le début de sa marche jusqu’à chez lui. Refuser poliment. Ne pas risquer de se retrouver face à une situation qu’elle n’est pas sûre de savoir gérer.

S’il y a bien une chose que Lockheart a appris rapidement dans sa vie, c’est ne jamais se mettre en difficulté lorsque ce n’était pas nécessaire. Le contrôle, la maîtrise, toujours être dans une position où elle aura le dessus. Maîtriser son être, ses émotions.

Aujourd’hui ne devait pas déroger à la règle. Lenny était trop important et tout était trop dur à articuler pour elle. Elle ne pouvait pas rester. La brune en était certaine, si elle se lançait dans cette brèche, rien de bon n’en sortirait. Elle avait besoin de temps pour comprendre, mieux appréhender et savoir quoi faire de tout ce qu’elle ressentait.

Mais avant qu’elle n’ait le temps de répondre, il lui lance des mots qui lui serrent le cœur avec une violente douleur. « I’m sorry. » Qu’elle murmure presque, sans oser le regarder. Puis la brune replace une mèche de cheveux avant de reprendre, redresser le menton et faire face à son subordonné. « I’ve been busy. »

Elle soupire et avant qu’elle n’ait le temps de rassembler ses forces pour lui dire qu’elle allait s’en aller, un petit woof se fait entendre au loin. Il n’en faut pas plus à Junior pour passer entre les deux humains et se diriger vers le coupable. Toujours plantée sur le pas de la porte, elle regarde Lenny et reprend « How’s Gadget ? »

L’idée de faire un pas lui est difficile. Pourtant, Junior ne semble pas décidé à revenir. Elle le sait, elle n’a pas le choix. Ses mâchoires se serrent un peu alors qu’elle finit par laisser échapper « I guess I’ll have a coffee then. I don’t think Junior’s coming back anyway. »





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    Il se doutait que sa supérieure refuserait son invitation. Elle l'avait ignoré durant les deux semaines précédentes, ce n'était certainement pas pour lui accorder de son temps aujourd'hui. Il ne pouvait s'empêcher, tout de même, d'être déçu de sa décision. Il savait pertinemment que sans ces documents à lui transmettre, elle ne serait pas passée le voir, aurait continué son manège jusqu'à ce que le sergent soit de retour au poste ; l'aurait-elle seulement considéré comme avant, à ce moment-là ? Elle n'avait encore rien dit, n'avait pas refusé d'entrer, mais Lenny connaissait assez son amie pour savoir que c'était ce qu'elle s'apprêtait à faire. Il ne répondit rien à ses excuses, ne releva pas le fait qu'elle avait été occupée durant ces dernières semaines. Cela ne coûtait que peu de temps de passer un coup de téléphone, et il n'en demandait pas plus. En réalité, il ne réclamait rien, Dick avait totalement le droit de ne pas se soucier de son rétablissement, mais cela ne faisait que prouver qu'elle ne ressentait pas la même amitié à son encontre. Il n'était peut-être qu'un subordonné depuis le début, même après cette nuit de passion qu'ils avaient partagée dans l'anonymat.

    Il allait reprendre la parole, mais fut coupé par un aboiement. Le regard en arrière, il sourit en voyant Gadget apparaître et Junior le rejoindre pour s'amuser avec son copain. Il aimait tant voir que les deux animaux s'entendaient, qu'ils pouvaient jouer ensemble. « — He's a little frustrated that he can't get out as often as he used to, but he's alright. Thank goodness he's here to keep me company. » Le regard toujours sur les deux chiens, il sourit, appréciant réellement d'avoir son adorable gardien pour lui tenir compagnie. L'appartement aurait paru encore plus vide sans lui. Il n'était pas pour le garder dans un endroit si petit, sachant qu'il serait bien plus heureux chez Ari, mais ce n'était pas pour longtemps et il aurait ensuite plus d'espace pour s'amuser. Il serait également remis sur pied et capable de l'emmener faire sa promenade plus souvent.

     I guess I’ll have a coffee then. I don’t think Junior’s coming back anyway.

    Il arqua un sourcil en la laissant entrer, toujours effacé près de la porte qu'il referme d'un geste las derrière elle. Le visage légèrement fermé en l'entendant prononcer ces quelques mots et, surtout, en captant sa démarche et l'air peint sur son visage. Il sourit, un peu amer, en ajoutant : « — It's lovely to see how glad you are to see me. » Il émit un rire crispé, appuyant bien sur les mots importants en s'adressant à elle, qu'elle puisse voir combien il était conscient qu'elle n'avait pas envie de se trouver là. « — I understand you don't want to be here; if you want to leave... » Il lui montra la porte pour lui faire signe qu'il ne comptait pas la retenir, malgré la tristesse qu'il ressentait à l'idée qu'elle ne veuille même plus se trouver dans la même pièce que lui. « — I won't say anything to Ari if that's concerning you. » Il ne lui dirait pas qu'elle était passée en trainant des pieds, après ne lui avoir adressé aucun mot durant deux longues semaines ; alors que le reste de l'équipe devait le traiter en héros pour le service qu'il avait rendu face à un civil.



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